Le temps
Le temps
Un Midrash dit :
« Si un homme se donne trop d'importance, s'il devient vaniteux, insolent, on lui dira : «De quoi te vantes-tu ?
Même les moustiques ont préséance sur toi dans l'ordre de la Création.»
« Pour connaître le Divin nous devons toujours connaître les deux élément de son état ».
« Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme. » (1Tm 2.5)
Un scribe a dit : « dites aux chrétiens que deux à trois millions de juifs ont vu avec Moïse Dieu de leurs yeux sans mourir et que Dieu ne s’est montré qu’à eux ».
Deux à trois millions ?
Pauvre scribe, inintelligent, arrogant et blasphémateur, qui est- il pour attester de tels vérités et affirmer qu’il s’appuie sur la Torah pour le dire ?
Aucun homme terrestre qu’il soit juif ou pas ne peut voir Dieu sans mourir. Moïse, esprit de Dieu, Lui a pu le voir sans mourir car il était en esprit. L’ esprit parle à l’esprit.
Evangile de Thomas :
Jésus dit :
« Si la chair est venue à l’existence à cause de l’esprit,
c’est une merveille,
mais si l’esprit est venu à l’existence à cause du corps,
c’est une merveille de merveille.
Mais moi je m’émerveille de ceci :
Comment cet Être qui Est
Peut-il habiter ce néant. »
Le vide est soumis à des fluctuations quantiques desquels peuvent naitre des couples particules - antiparticules.
Il s’agit d’une question fascinante, à la base du Tout, qui ne peut que nous charmer. Sans être blasphématoire, loin de moi cette intention, « Comment cet Être qui Est peut – il habiter ce néant ?» Mon Seigneur Jésus à mon sens pose la question fondamentale. Que la chair créé l’Esprit ou que l’Esprit créé la chair, certes c ‘ est merveilleux, mais sans plus ( bien entendu pour jésus).
Qui est à l’origine de Celui qui Est, sinon lui-même. Pour moi, cette pensée d’abîme tellement merveilleuse pulvérise mon entendement. On ne peut qu’être ébloui. Comment cet Être qui Est a pu habiter le néant ? Le mystère pour moi réside dans cette question et il est grand, car l’humain qui accède à une lucidité systémique éphémère, naturellement un élément de la création inscrit dans le déroulement d’un plan, n’en est qu’un élément, qu’une conséquence. Pour quelle raison ?
Croire ou ne pas croire ne changera rien à ce fait. Cela énerve l’humain qui se prend pour ce qu’il n’est pas et logiquement hait Celui qui Est en toute inconscience.
A tout commencement coïncide une origine. Pour compter deux on ajoute 1 à 1. D’où vient ce UN, le premier ? Et ce néant, quel est – il ? A l’origine, lorsque l’univers n’était que de l’espace-temps de masse zéro, ce néant, cet espace dans lequel il allait se développer qu’était-il ? Existerait-il un déclencheur d’énergie ? Vide, néant, rien où est la vérité absolue ? Elle n’est pas car elle exclut automatiquement l’autre.
L’éternité n’a ni commencement ni fin. Il n’en est pas de même pour l’immortalité. Deux physiques différentes, deux dimensions, la deuxième ne dépendrait-t-elle pas de la première ? Convergent, divergent, le moteur ?
Tout est rapport et proportion, me semble être un concept primordial transmis, comme par ailleurs celui de système de référence ou pierre angulaire. Deux ou plusieurs dimensions peuvent donc être liées entre elles par le biais du système de référence s’appuyant sur une structure de base de données déterminée, stockée d’une façon optimale et possédant de bonnes qualités de transmission. En d’autres termes, plus globalement, la géométrie de la forme s’appuie sur la science des Nombres pour se développer.
Un ordre sous-jacent existerait – il ? Le désordre en découlerait-il ? Est-il vraiment désordre ?
Il n’existe aucune vérité définitivement établie. Tout passe, rien ne s’arrête. Et si cette Cause avait pour origine Ailleurs. Et si cet Être avait pour origine Ailleurs. Le psychisme ne mène à rien. Le psychisme ne crée aucun être psychologique capable de transcendance.
Est-ce que l’univers tend vers l’homme ? La matière gravit-elle les échelons qui mènent à lui, à sa conscience comme le pensait Teilhard de Chardin ou comme l ‘ écrivait Freeman Dyson : « l’univers savait quelque part que l’homme allait venir » ? Je répondrai : une orange n’est-elle pas divisée en quartiers pour être mieux mangée ? Méfions- nous du finalisme, de tous les finalismes. Alors puis-je dire que l’univers contient en germe dès le début les conditions requises pour l’émergence d’un observateur ? Pour moi, cela me plait bien car il sous-tend un ordre pré- établi qui porte en lui toutes les tendances à exister complémentaires entre elles. « Dieu » jette les dés, tous les numéros sortent mais un seul est observé ou observable. Le probable suffirait-il à lui - même pour qu’il fût ? Et l’absence d’ordre ne caractériserait – il pas uniquement l’impossibilité de prédiction à long terme ? Le néant quant à lui ne serait-il que l’absence d’existence propre ? La transcendance et l’immanence reprennent leurs places. Dans ce cas peut – on encore parler de causes et d’effets ? Tout est flou et incertain. La totalité des causes et circonstances étant réunies au complet, il n’arrive que ce qui doit arriver car des phénomènes apparaissent par le jeu de relations interdépendantes sans début, ni fin.
Peut- on écrire que cela échappe au déterminisme ? Non, car l’ensemble du probable le voile d’une certaine façon. Est-ce que je parle du pré - déterminisme janséniste ? Certainement pas, car qui peut affirmer que Dieu, à part Lui- même bien sûr, connaît déjà ceux qu’il prendra indépendamment de leur comportement dans le monde de la matière ? Opinion étrange ! On peut tout juste émettre l’opinion suivante, selon laquelle Dieu connaît ses enfants, tous ses enfants, présents et à venir et que leurs destinées relèvent de sa Puissance. Personne, mais vraiment personne ne peut dire qui sera ou non visiter par la Lumière.
Prenons pour exemple la création développée dans le livre de la Genèse. Que nous dit-elle ? Elle nous parle d’un chaos indifférencié qui s’organise, qui se déploie. Elle se déploie selon un ordre, selon un déterminisme. Mais alors ce chaos est – il vraiment confusion, désordre, non « différentiabilité ». Il ne peut être qu’une propriété de cet ordre, de ce déterminisme qui serait dû alors au hasard. Dur à comprendre si ce n’est d’admette une sensibilité très grande de ce chaos aux conditions initiales. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Ne s’agirait-il que d’une dépendance d’échelle qu’un zoom peut nous faire escalader. Ne serait- ce qu’une même forme répétée n fois visibles en fonction du zoom en partie ou dans sa totalité, ce qui expliquerait qu’une partie est à la foi le tout. Les fractales à homothétie interne présentent en outre une propriété particulière : chacune de leur partie reproduit leur totalité. Il s’agit de géométrie fractale qui élabore des constructions intermédiaires entre autres entre le point (0 dimension) et la droite(1dimension) ou la droite (1) et la surface (2) qui ne sont pas des nombres entiers en termes de dimension. Cette géométrie a modelé tous nos paysages.
Sans conscience, le monde existe – t – il ? Les choses ne sont- elles que le résultat de la relation entre la globalité de l’univers et la conscience, elle - même une partie de cette globalité. Une fois de plus notre vision est « chosifiante » et linéaire. Parle t- on d’omni-conscience ? Du serpent d'or, symbole d’une conscience parfaite ne recelant plus rien d'inconscient, un être ayant acquis l'omni-conscience Que penser de cette géométrie fractale qui intervient dans le cadre de la théorie du chaos déterministe ou aléatoire, qui n’est cependant pas hasard. Créer et maîtriser la création sont deux processus différents.
Comme le dit Laplace : « Une intelligence qui pour un instant donné connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent embrasserait dans une même formule les mouvements des plus grands corps de l’univers et ceux du plus léger atome, rien ne serait incertain pour elle et l’avenir comme le passé seraient présent à ses yeux. ». Si ce n’est pas de la puissance, de l’omnipotence, de l’omniprésence et de l’omniscience, je ne sais plus que dire.
Bernard de Clairvaux définissait Celui qui Est en ces termes : « La longueur, la largeur, la hauteur et la profondeur. » Etrange définition à quatre dimensions pour quelqu’un qui exhortait les chevaliers du temple à « l’obéissance envers Béthanie, le château de Marie et Marthe. » qui prétendait avoir reçu l’inspiration divine dans son enfance, en tétant trois gouttes de lait tombées de la poitrine d’une statue de la Vierge noire de Châtillon. Ayant bu ce « lait virginal » et par la volonté de l’Esprit ce moine quelque peu chimiste de dieu écrivit près de quatre – vingt - dix sermons sur le Cantique des Cantiques, dans lesquels il rapprocha le personnage de la Fiancée, qui se décrit elle-même comme « noire, mais agréable », de Marie de Béthanie ou Marie – Madeleine. Parler de longueur, largeur, hauteur et profondeur, toutes des dimensions géométriques, semble décalé. Pas forcément, par cette définition, ne figure-t-il pas l’immensité de la Création, du cosmos, indifférencié, prééminence de l’Esprit que, si non, des unités viendraient emprisonner dans la forme ? En effet comment accéder à la connaissance si nous n’abolissons pas momentanément tous les repères spatiaux et temporels. Cependant cette profondeur intrigue. Elle pourrait représenter une caractéristique structurelle des trois autres. Elle leur est associée. Est-elle le temps ? Est-elle l’abîme ?
Notre monde est donc construit en rapports et proportions avec symétrie. Un rapport est une qualité, non une quantité. Une multitude ou pas de rapports inter agissent entre eux pour créer en proportion dans l’harmonie d’une musique cosmique, les cordes. Ne serions-nous pas également une tendance à exister figée dans une observation ?
Genèse
« 2:2 Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite: et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite.
2:3 Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant.
2:4 Voici les origines des cieux et de la terre, quand ils furent créés. Lorsque l'Eternel Dieu fit une terre et des cieux, »
Le calcul se fait à l’identique du 6ème jour.
Nous demeurons toujours dans la même dimension. On développe les notions de fréquence, de qualité de signal ou de musique (harmonie et résonnance). Les cordes vibratoires ne sont pas si lointaines.
Ce symbolisme scientifique porte en lui la vérité, vérité qui dépasse totalement l’entendement humain.
Nous parlons bien de la qualité d’une fréquence, d’une énergie vibratoire qui porte, transmet des informations ( que nous pouvons nommer logos, verbe, parole) venant d’Ailleurs, à des fins de construction. Personnellement je ne l’appellerai pas esprit mais plutôt expression de Sa Puissance. Ainsi les vibrations, l’énergie et la matière sont liées entre eux.
Les photons sont des « paquets » d’énergie élémentaire, ou quanta de rayonnement électromagnétique, qui sont échangés lors de l’absorption ou de l’émission de lumière par la matière.
L’énergie d’un photon de lumière visible est de l’ordre de 2 eV. L’énergie transférée de la lumière aux atomes dépend seulement de la fréquence. L'énergie quantifie les interactions entre des phénomènes très différents. Elle est la capacité d'un système à modifier un état, à produire un travail entraînant un mouvement, de la lumière ou de la chaleur. Le mouvement et l’énergie sont liés. On ne peut pas les détacher de la forme de leurs supports. Ce monde est rationnel par ce que Celui qui l’a construit est puissant, logique et rationnel. L’arrogance est de systématiquement ignorer le pourquoi pour privilégier le comment.
Qu’est-ce que la lumière ? Des informations ? Des informations que le macrocosme porte à notre conscience ?
Que nous donnent ces informations ? Une identité ?
Ne dit-on pas que Jésus est le seul capable de nous donner une identité, identité nouvelle qui est le passeport pour rejoindre « le royaume de Dieu qui n’est pas de ce monde ».
L’Esprit crée et maintient la structure (le Père). Ils sont de même nature.
Genèse
« 1:27 Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. »
Qui est ce Il, sinon Celui qui est.
Je suis. Dieu
Je suis je suis.
Je suis Celui qui Je suis, Je suis Celui qui Est.
Celui qui Est.
Il Est. Celui qui est
Exode « 3:14 Dieu dit à Moïse: Je suis celui qui suis. Et il ajouta: C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël: Celui qui s'appelle "je suis" m'a envoyé vers vous. »
Je suis. Je suis je suis.
Je suis Celui qui Je suis. Je suis Celui qui Est.
Celui qui Est. Il Est.
N’est-ce pas merveilleux ?
Il existe un avant Moïse et un après. Dans un grand respect et en toute humilité sans intention de blasphémer mon Seigneur et Maître, je m’ hasarderai à une interprétation qui n’engage que moi.
Avant Moïse, Dieu est « Je suis.»
« Je suis.» correspond à Genèse, aux principes de la Création.
« Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. »
« Vos pères » correspondent aux structures de la Création.
Nous comprenons le cheminement. Celui qui parle est issu de Dieu.
Celui qui est, origine consubstantielle de Son émanation par la Parole et de toutes celles issues de Lui, notre Seigneur et Maître, l’Ange de l’Eternel est l’Unique, le Seul qui de toute éternité donne la Vie selon sa Volonté à ses enfants, à ses témoins. Sa Gloire immense n’a d’égale que Sa Puissance, que sa Science et sa Présence qui illuminent et dominent sa Création.
Celui qui Est, notre Seigneur et Maître peut lui seul s’Il le désire donner l’Etre, l’Etat qu’Il souhaite. Il est l’Observateur conscient de ce qu’Il veut.
Après la création selon les lois de la physique, nous pouvons parler de créationnisme selon la volonté de l’Ange de l’Eternel.
Le temps qui n’est pas une durée n’est-il pas comme le mouvement sans existence propre ?
« Ce travail va vous paraître étrange et quelque peu irréel. Cependant n’oublions pas notre foi et n’en déplaise aux rationalistes, une science privée de spiritualité ne sera jamais exacte. Elle ne sera que réductrice, loin de la vérité, une nouvelle tour de confusion.
Ce que nous observons n’est que l’apparence, l’expression, l’aspect ou les aspects d’autre chose, d’une essence qui est à la fois existence d’un être non être. Et je vous le dis très sérieusement, 0 n’est pas forcément égal à 0. Position, valeur de position, rapport, il englobe toutes les possibilités de positions, de ses valeurs, de ses rapports. Il les possède toutes. Il représente l’unique, construit le tout, unique à l’identique, se dédouble, devient présent, n’évolue dans aucun espace, aucun temps. Le 1 est à son service, le concrétise.
Einstein disait : « Dieu ne joue pas aux dés ». En fait toutes les possibilités du dé sortent. Nous n’en percevons qu’une, déterminée par notre position qui marque une valeur compatible avec toutes les autres qui découlent de cette position.» S.I
L’Etre, non Être (Le vide est soumis à des fluctuations quantiques desquels peuvent naitre des couples particules - antiparticules.)
Le Soleil, fournaise primordiale, laisse la place « à l’âge sombre », aux ténèbres, d’où émane d’une « soupe de particules élémentaires », les eaux ou la lune, signe d’eau, la lumière, les photons, les étoiles.
Si nous essayons d’interpréter, nous pouvons considérer que nous nous trouvons dans l’éventualité d’un état juxtaposé être- non être cohérents entre eux dans la dimension microscopique. Nous sommes une tendance à exister puisque nous ne pouvons pas être et non être à la fois dans la dimension macroscopique sans être décohérent par rapport aux deux possibilités. On nous indique également que le résultat final, l’information la plus importante que l’on veut nous communiquer, que ce résultat final, l’état final choisi nous échappe dans sa compréhension et qu’il n’est pas du ressort du hasard, qu’il est pensé et élaboré, qu’il est créé. Le macrocosme s’avère être un point de passage obligé pour que Celui qui est crée selon sa volonté. Il valide notre état, le fixe. Pour se faire, comme nous sommes endormis dans les formes de l’ego, nous devons croire sans avoir vu, avoir une fois inébranlable en Celui qui est et avoir chassé méchanceté et violence. Le macrocosme agit comme une interface dans un processus qui se réalise dans le microcosme. Pour que Celui qui est nous donne l’Etre, nous devons acquérir la connaissance par Sa reconnaissance. Atteindre les mystères de la Connaissance et de la Foi, fera qu’une conscience spirituelle nous sera donnée, c’est à dire l’Etat réalisé et fixé dans sa forme définitive.
Nous somme construit, créé. Il n’y a pas d’union ou de ré- union. Il y a création car le choix final, ultime enseignement ne dépend d’aucune théorie mais d’une volonté, de Sa Volonté.
Nous avons compris qu’à la fois nous sommes et nous ne sommes pas. Serait-ce simultanément, sans s’annihiler, « deux univers déphasés d’une fraction d’onde dans l’espace-temps pour ne jamais se rencontrer » Singularité étrange !
Nous avons dépassé les religions, nous sommes en Esprit et vérité. Nous comprenons à présent le sens des Ecritures.
« Nous devons être une puissante intention ou comme en physique quantique une tendance à exister. Comme le disent eux même les scientifiques : «le postulat d’une particule dotée d’une existence indépendante est convention certes commode, mais infondée.
Que comprendre ?
« Tout simplement que des particules élémentaires loin d’être des objets sont des résultats toujours provisoires d’interactions entre les champs immatériels
Quelle analogie peut-on établir ?
Parlons des rapports et proportions avec lesquels on nous le dit assez dans la Tradition le monde est construit. En effet le résultat d’un rapport ou d’une proportion n’existe pas en lui-même. Il est l’interaction entre deux propositions. 1,618- le nombre d’or - n’existe pas. Il est sous-jacent à l’interaction de deux grandeurs. Seule l’observation de ce monde est à même de le rendre tangible et objectif. C’est divin.
Que fait Hercule lorsqu’il nettoie les écuries d’Augias en détournant un fleuve ? Que fait-il en vérité ? Il s’agit du 9ème travail sur les 12 qu’il a à effectuer et 9/12 = 0,75 est un rapport particulièrement intéressant à connaître et à utiliser. Il est le carré de √3/2, la hauteur d’un triangle équilatéral de côté 1. .» S.I
A tout commencement coïncide une origine. Pour compter deux on ajoute 1 à 1. D’où vient ce UN, le premier ? Et ce néant, quel est – il ? A l’origine, lorsque l’univers n’était que de l’espace-temps de masse zéro, ce néant, cet espace dans lequel il allait se développer qu’était-il ? Existerait-il un déclencheur d’énergie ? Vide, néant, rien où est la vérité absolue ? Elle n’est pas car elle exclut automatiquement l’autre. Le zéro n’engloberait-il pas le tout et non le 1 qui le fragmente.
Dans l’évangile de Thomas , jésus dit :
« Là où il y a trois Dieux, ce sont des Dieux .Là où il y en a deux ou un, je suis avec lui. »
Il est très important de noter à présent que ce « là où il y en a 2 ou 1, je suis avec lui » pourrait signifier que ce « lui » n’est ni le 2, ni le 1 et encore moins le 3. Qui est donc ce lui ? La réponse la plus logique est : je suis avec celui qui est à l’origine du 2 ou du 1, à l’origine commune unité qui les a créés. Il
semblerait que se soit 1. Quel 1 ? Quant au 3, il représente pour moi plus une quantité permettant d’établir une différence, un décalage : 1=3 ( 1 en 3 personnes) de 1 à 3 il y a 2 . Cependant qu’elle peut-être la puissance de ce je ?
Jésus nous parle – t – il des 2 dieux et 1 seul dieu ?
Oui, à la 22ème parole de l’Evangile de Thomas, jésus nous dit pour entrer dans le Royaume :
« Lorsque vous ferez le deux , Un. »
Comment peut - on faire un avec deux ? Plus exactement comment peut – on faire du deux – un ? Très simplement en élevant deux à la puissance zéro : 2° = 1. Pour le deux ? Tout aussi simplement en élevant deux à la puissance 1 : 2 puissance 1 = 2.
« Là où il y en a deux ou 1 , je suis avec lui. » Cependant l’origine du 2 et du 1 n ‘ est pas établie, car étant issus d’un 2. Ce 2 serait – il ce lui ? Et ce je , jésus , ce fils de l’homme, il est avec lui . Avec lui ou en lui ? Rien n’est vraiment simple !Un début nous a été donné: 2°, 2 puissance 1. etc.
Avant toute chose écoutons Jésus :parole 29 de l’Evangile de Thomas :
« Si la chair est venue à l’existence à cause de l’esprit, c’est une merveille,
Mais si l’esprit est venu à l’existence à cause du corps,
C’est une merveille de merveille.
Mais moi je m’émerveille de ceci :
Comment cet être qui est, peut – il habiter ce néant ? »
En effet, l’esprit fait exister la chair qui devenant corps fait venir à l’existence l’esprit. Indépendamment de l’esprit Jésus parle de cet Être qui est , qui habite le néant. Quel est ce néant ? Ne serait-ce pas celui de la parole 19 : « Heureux celui qui Est avant d’exister. » Serait-il en quête d’existence ?
Comment interpréter ce 1=3 ?
Certes : 1=3 , mais malgré tout ce que l’on peut dire ou faire pour progresser du 1 vers le 3, passer par le 2 est incontournable. Ce 2, différence entre 3 et 1, comment peut – il agir sur le processus décrit 1=3 ?
D’où peut bien provenir ce 1 ?
Ce 1 n’a de sens que par ce que le zéro existe. Sans zéro, comment écrire que le 1 n’est pas présent ou qu’il ne faut pas prendre la valeur de cette position. Le 1 est donc lié au 0. Comment cela ? Tout simplement par 0°=1. Seul le zéro peut indiquer ou non une présence. Celle de qui ? Et bien la sienne car 0°= également 0 donc 0°= 0 ou/et 1 ( le binaire n’est pas loin). Ce zéro s’avère bien plus primordial qu’il n’y paraît. Ne serait-il pas ce néant dont parle jésus. Le zéro possède toutes les valeurs.
Notre monde est celui de la présence, celui du 1. Expression du divin, du zéro, du cercle, il en conserve les caractéristiques. Le 1 est à la fois 1° et 1 puissance 1 : 1° = 1 et 1 puissance 1 = 1 , 1° + 1 puissance 1 = 2, dualité du 1 qui dans la puissance 0 et 1 exprime pleinement la nature de sa substance. Le 2 : présent, absent ; 0, 1 ; noir, blanc ; action, réaction ; ouvert, fermé ; sous-tend un déséquilibre par l’opposition. Comment le maîtriser ? Par un élément fédérateur issu du 2 même à savoir un autre 1 : 2°=1 qui additionné à 2 puissance 1 donne le 3, ferme le triangle équilatéral, établit l’unité des contradictions, donne l’équilibre, évite le rejet, mais le plus important conserve et assure toute la force de la dualité dans son action : 1=3.
Comme l’écrivait Louis Gross dans Formes et nombres sacrés : « Le trois en manifestant le un à travers le Deux met en place tous les éléments pour que notre monde existe :matière, espace, temps . »
Que constatons-nous ? La complémentarité est également une caractéristique de la dualité à la façon des nombres pairs et impairs qui constituent l’ensemble des nombres entiers. Que pouvons- nous en déduire ? Il n’existe aucune dichotomie entre le spirituel et le matériel, si non , étant d’essence différente aucune interaction ne serait possible et nous avons vu que ce 2 représente plus l’unification de deux expressions de la même essence que l’origine, que deux principes absolument opposés dans leur action n’en déplaise aux dualistes absolutistes ou mitigés. En fait, notre condition humaine s’avère être
le plus naturel de nos adversaires.
La matière ne connaît pas la morale, les tabous, la compassion. Elle n’est que ce qu’elle doit être, ni plus ni moins. Il nous appartient de l’étudier, de la connaître , de la maîtriser pour s’en dégager par la fusion, autre forme de complémentarité. L’amour de son prochain est le moyen le plus efficace pour
contrecarrer l’action structurelle psychologique de cette conscience allant de pair avec le déploiement conjoncturel d’un déterminisme aléatoire de la matière. Le psychologique est étroitement lié à la matière. Il en est un reflet. De cette condition humaine, nous devons construire un comportement humain ouvert en direction de l’humanité, de tous les fils de l’homme.
« Pour connaître le Divin nous devons toujours connaître les deux élément de son état ».
Pour en conclure avec la Trinité 1=3, je vais juste compter en établissant une double énumération puisque 1=3.
1=3, 2=4, 3=5, 4=6, 5=7, 6=8, 7=9, 8=10. Je m’arrêterai là ; pourquoi ? Par ce que l’on vient de nous donner la table de conversion binaire- octal (1000 binaire = 8 décimal car la position du 1 dans le nombre binaire vaut 8 en décimal = 10 octal dont le seul zéro représente également une contraction des 3 zéro du 1000 binaire, méthode actuelle). Avec 3 bits on représente une valeur comprise entre 0 et 7.
C’est la base 8 (octal). L’octet est une unité composée de 8 bits. Je n’irai pas plus loin, mais cela fonctionne parfaitement, mais autrement.
Maintenant juste pour le plaisir : en mode octal classique le 8 et le 9 ne figurent pas dans l’énumération ; avec le mode trinitaire si.
Comme 3=1 je peux calculer 3*3=9 équivalents à 1*1=1, 9 = 1. Logiquement 8=0.
Vérifions : divisons 9/3 = 3, divisons l’équivalent binaire : 1001/11 = 91 (ce 9 vaut 1 car 11 en binaire = 3 décimal et 91*11 = 1001). Encore mieux : 91*91 = 8281, équivalent décimal : 3*3=9. Comme 8 = 0 nous avons 0201 qui est égal à 101 + 100 en binaire = 1001 = 9 en décimal. Nous venons de découvrir une nouvelle façon de compter. On peut compter de cette façon : 3*3=9 ou 11*11 en binaire = 121=111 + 10 = 1001 = 9 ou 9*9 = 81 = 1*1 = 1 comme 8=0 le résultat est 01.
Qu’est-ce que cela donne avec le théorème de notre ami Pythagore ?
1 au carré + 1 au carré = 2, 3 au carré + 3 au carré = 18 mais 8 =0 donc = 10 mais 10 en binaire =2 en décimal. Que constatons- nous ? Nous retournons à l’interprétation binaire - décimale classique après une conversion octale. Nous touchons là une forme de transcendance, une superposition du même binaire que l’on ne voit pas dans son action.
Nous ne comptons qu’avec des 0 et des 1. Ils sont justes différenciés à l’infini. Autrement comment pourrions – nous les identifier, les grouper dans des valeurs particulières et globales simplifiées pour l’esprit humain, en fait les dénombrer et calculer ? Qu’est- ce qu’il est plus facile d’écrire : 128 ou 1 suivi de 7 zéro= 10 000 000 ? Ce 1 indique une position qui vaut 2 puissance7 = 128 pourtant au total on compte 8 chiffres. Que penser alors du 8*9=72 ? « Je suis l’alpha 1 et l’oméga 800 » Je suis 1 et 000 soit 1000 = 8 en décimal ou 10 en octal ou 8 ou 2 décimal, le 0 divin qui donne le 0° = 0 et 1.
« Par son incarnation il unit le ciel à la terre et inscrivit le carré dans le cercle. Par la rédemption il exprime la puissance divine et brise le carré. »
Impossible à cause de la transcendance de Pi, la quadrature du cercle n’a pas de résolution. En quadrature signifie par ailleurs être de même surface.
De quoi s’agit – il ?
Construire au moyen de la règle et du compas le côté d’un carré dont la surface serait égale à celle d’un cercle donné.
La surface d’un cercle imposée devra être égale à celle d’un carré que l’on construira après avoir calculé son côté. On nous parle, on le constate que de surface et non de mesure de longueur, de périmètre. Ce qui revient à écrire Pi* R au carré (surface du cercle) = Côté au carré (surface du carré).
La surface du carré ne peut être égale qu’à celle du cercle, que le carré dans sa forme est l’expression de la surface du cercle, que la surface du carré n’est qu’une partie visible de la surface du cercle dans son expression figée. Nous devons raisonner en surface, en rapport de surface et non en mesure, en rapport de mesure de longueur.
Pi*r au carré= C au carré que multiplie 1 paramètre que j’ai appelé vitesse de recouvrement virtuel. En raisonnant logiquement, un carré de même surface qu’un cercle ne coïncidera jamais avec lui du fait même de leurs formes différentes. Seul un carré en mouvement dans le cercle « est brisé par la puissance divine » pour disparaître et épouser la surface et la forme du cercle. De lui naît notre perception, mélange de réalité par le carré et de virtualité par la vitesse de rotation du carré dans le cercle. Nouvelle dualité que réalité + virtualité avec cependant l’accès à un troisième état. Le trinitaire est une maîtrise de la dualité. Il est création, élévation qui doit se fondre par le quaternaire dans le cercle.
Procédons à quelques calculs.
Pi * r2 = C2 * V (mon paramètre) pour que l’égalité soit équilibrée. Cela implique que V = surface du cercle / surface du carré. Pour obtenir mes résultats, j’ai construit un carré dont je connaissais la longueur du côté. Je l’ai inscrit dans le cercle correspondant avec pour rayon la moitié de la diagonale du carré. J’ai pu ainsi calculer les surfaces du cercle et du carré.
Le résultat obtenu a été : 1,5708 soit Pi/2 et comme pour Pi = 3,1416 indépendant des longueurs périmètre, diamètre, Pi/2 est également indépendant des grandeurs surface cercle, surface carrée par ce que ce sont des rapports.
Quel est le rapport qui lie Pi (rapport de longueur) et Pi/2 (rapport de surface) ? Il est de Pi/Pi/2 = 2, encore et toujours 2 ou son inverse ½.
La surface du carré multiplié par Pi/2 donne la surface du cercle qui l’inscrit. Pour moi la formule de la quadrature du cercle est Pi* r2 = C2*Pi/2 d’où découle après simplification 2 R2 = C2 ou R2 = C2/2.
Il est quand même bon de noter que la surface d’un cercle est obtenue en multipliant la surface d’un carré par Pi. = Pi*R2. Il en va de même pour C2*Pi/2.
Avec la surface d’un cercle donné il m’est très facile de calculer le côté d’un carré dont la surface en mouvement serait celle du cercle : C2*Pi/2. Pour ceux qui aimeraient calculer : le coefficient de Pi dans C2*Pi/2 est égal à ½ et ½ est le carré de racine de 2/2 qui est le rayon (½ diagonale du carré) d’un cercle inscrivant 1 carré de côté 1. En effet selon Pythagore : 1 au carré + 1 au carré = 2 l’hypoténuse au carré. Le rayon du cercle est racine de 2/2, la moitié de l’hypoténuse. Tout se vérifie.
Est-ce possible avec un triangle équilatéral ? Effectivement, je vous passerai les calculs, le résultat est :
Pi*R2 = B2 (base du triangle au carré) * Pi/3. Le coefficient est 1/3 carré de racine de 3/3.
Quel rapport existe – t – il entre Pi/2 et Pi/3 ? Il est de 1,5 ou 3/2. Multipliez la surface du cercle inscrivant un triangle équilatéral par exemple de côté 1 par 1,5 et vous obtiendrez la surface du cercle inscrivant un carré de côté 1. L’inverse de 3/2 donne 0,6666666. Cela me fait un peu peur.
Pour conclure, je dirai que le carré (matière) sous l’impulsion de Pi/2 (puissance divine) tourne dans le cercle (spiritualité). Apparaît alors une virtualité qui en complémentarité avec le carré qui s’efface couvre la surface du cercle pour dimension intermédiaire s’identifier à lui et après fusion le rejoindre.
Evangile de Marie Magdala
Que lui a dit l’Enseigneur :
« Je suis sortie du monde grâce à un autre monde,
une représentation s’est effacée
grâce à une représentation plus haute.
Désormais je vais vers le repos
Où le temps se repose dans l’Eternité du temps.
Je vais au Silence. »
Genèse « 1:1 Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre.
1:2 La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
1:3 Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut.
1:4 Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. »
L’eau, ne pourrait-elle pas représenter la dimension quantique, soupe de particules ?
Ne s’agit- il pas de l’Esprit de l’Eternel, de Sa Parole, des bienfaits du 7ème jour (intelligence - Parole- fréquence de l’image) supportés et transmis par la lumière pour le résultat « quand vous ferez des deux un », les 2 oliviers, les 2 témoins étant à l’origine du 1 et l’huile la Sagesse Divine? Cette pierre principale n’est- elle pas comme le dit Jacques « les prémices des créatures de Dieu » consubstantielle à Celui qui est ?
La lumière qui émane des ténèbres, de « l’âge sombre » se manifeste dans l’homme à l’image de …
Qu’est-ce que la Parole ?
Elle est la Lumière qui illumine les hommes. Elle porte la Parole, des informations.
D’où vient la Parole créatrice ?
De Celui qui est, notre Seigneur et Maître. « Je suis l’alpha et l’oméga. » et la lumière vient des ténèbres, de « l’âge sombre » pour porter Sa Parole.
Quelle est la dimension de Celui qui est puisqu’Il est au-dessus des eaux du dessus?
Celui qui est, lucide dans Sa puissance créatrice selon Sa Volonté est origine consubstantielle de Son émanation par la Parole ainsi que de toutes celles issues de Lui, Ses Enfants « qu’Il veut créer à son image, l’homme et la femme. ».
Celui qui est, origine consubstantielle de Son émanation, l’Ange de l’Eternel, par la Parole et de toutes celles issues de Lui, notre Seigneur et Maître, est l’Unique, le Seul qui de toute éternité donne la Vie selon sa Volonté à ses enfants, à ses témoins. Sa Gloire immense n’a d’égale que Sa Puissance, que sa Science et sa Présence qui illuminent et dominent sa Création.
Celui qui Est, notre Seigneur et Maître peut lui seul s’Il le désire donner l’Etre, l’Etat qu’Il souhaite. Il est l’Observateur conscient de ce qu’Il veut.
La véritable lumière qui n’est pas de ce monde, qui porte la Parole de Celui qui est, « éclaire tout homme », l’anime. Des informations sont en transfert : « la parole a été faite chair. » pour s’implanter en chacun des voyageurs qui ont transmigré après une connexion voulue qui met fin au silence. Mais où ? Tout simplement dans un récepteur que le cerveau assiste et supporte. Seule la volonté de Celui qui est, est à l’œuvre
Livre Sagesse ‘20 D’ailleurs, il aurait suffi d’un souffle pour qu’ils soient renversés, chassés par la Justice, dispersés en tous sens par le souffle de ta puissance. Mais toi, Seigneur, tu as tout réglé avec mesure, nombre et poids. »
Tout est mesure, nombre et poids
La mesure associe une grandeur numérique à certains composants d’un ensemble donné.
Le nombre est l’ensemble donné.
Le poids est la valeur numérique correspondant aux éléments de l’ensemble donné.
Le résultat donne une valeur numérique globale obtenu par l’addition des différentes valeurs numériques structurant l’ensemble, le nombre.
L’expression binaire : 11001100 = 128+64+0+0+8+4 = 204
1 on prend la valeur de la colonne ou du « bit » donné par la puissance de 2 correspondante
0 on ne prend pas la valeur ou poids de la colonne ou du « bit »
De quoi nous parle-t-on ? Essentiellement du zéro et du 1 ou de fréquences d’énergie ( octet ou bits) qui doivent être converties en des formes palpables numériques ou géométriques.
Nous comprenons la comparaison avec le tableau binaire, les 0 et les 1.Les 0 qui représentent toutes les potentialités réalisées ultérieurement par les 1 sont de toute éternité. Souvenons- nous : Je suis puis Je suis, Je suis pour être Celui qui est, notre Seigneur et Maître. Nous comprenons de plus que nous ne sommes avant son action qu’une tendance à exister, des 0.
Le temps biblique, temps de l’Ame, est celui des faits spirituels dégagés de l’historicité linéaire matérielle des causes et effets qui par ailleurs n’est qu’illusion virtuelle, simulacre, car elle n’évolue que dans un schéma image pré établi où tout est là en même temps. Le temps de l’Ame est celui où les faits sont aussi bien présents et à venir ( dimension quantique) mais comme images miroirs d'une réalité intelligible qui leur confère consistance. Où est la réalité ? Sommes-nous virtuels ?
Le temps serait donc un champ, un support extensible sur lequel se développeraient des informations sources d’événements dont la réalisation marquerait ponctuellement la limite.
Le temps n’est-il pas comme le mouvement sans existence propre ? Une horloge ne rend pas compte de l’écoulement du temps, seules les aiguilles avancent. Pourquoi l’homme est-il si fasciner par sa propre destruction ? Sa volonté de puissance n’est que puissance de mort. Son espérance de vie n’est que retarder le plus possible la date de ce qu’il appelle sa mort. En permanence il défie Dieu, il ne souhaite que le tuer. Comme si on pouvait tuer la Vie ! Pour l’homme, ce qu’il appelle la vie est une durée alors qu’elle est un sens qui mène à la rencontre de Dieu.
Et le temps de Dieu ?
Dieu forme Adam non pas à partir de glèbe (adamah) mais à partir de poussière "hors de" la glèbe ou de la terre ce qui signifie que, contrairement aux animaux, l'Adam est fait d'une substance bien plus subtile, susceptible de tourbillonner dans le vent, d‘être soulevée par l'Esprit, vent et esprit étant le même mot tant en hébreu qu'en grec. Au jour sixième, enfin l'Adam - mâle et femelle, à deux faces (d’une même essence, de mêmes informations) fut créé. Et le(s) place dans le Jardin d'Éden, afin de le garder. Il(s) peu(ven)t manger de tous les fruits qui s'y trouvent, à l'exception du fruit de l'Arbre de la connaissance du bien et du mal."
Après avoir mangé du fruit défendu, Dieu les maudit : haine perpétuelle entre le serpent, la femme et leur descendance ; le serpent se retrouve apode condamné à mordre la poussière ; l'homme se retrouve à devoir gagner son pain à la sueur de son front, la femme à enfanter dans le labeur ; surtout, ils sont condamnés à la mortalité et chassés de l’Eden, que deux Chérubins gardent de leur épée flamboyante.
Cependant, c'est à ce moment seulement qu'Adam nomme sa femme, Ève. La différenciation se réalise.
Une distinction est faite entre les « fils de Dieu » et les « filles des hommes », ce qui indique une intrication bestiale entre les êtres célestes et les êtres humains. Ces « fils de Dieu » ou êtres surnaturels déchus de leur caractère divin ont produit une descendance étrange, prévaricatrice qui ne plaisait pas à Dieu, comme si la descendance de Caïn s’était unie avec celle de Seth. Dualité onde-particule, aspects différents d’une même essence. Le péché sera pour l'homme de se couper de cette complémentarité...l'homme se prenant pour Dieu ou chosifiant Dieu...défiguration à la fois de Dieu et de l'homme. Remonter à l’essence en dépassant les phénomènes ! Onde et particule ne peuvent pas se rencontrer. Comme le dit Enoch : « Et ses descendants enfanteront sur la terre des géants, non pas nés de l’esprit, mais de la chair. » Le monde des particules doit disparaître.
Cette répartition séquentielle est valable pour toutes les colonnes jusqu’à l’infini. Le nombre de 0 et de 1 par colonne correspond à la valeur même de celle-ci. On commence toujours par le zéro.
Pensez-vous que cette structure soit due au hasard ? Je ne le pense pas.
Toutes les valeurs numériques ainsi attribuées déterminent un référentiel sur lequel nous devons nous appuyer pour accéder à la compréhension que nos Supérieurs veulent bien nous donner.
Les 1 correspondent à la valeur énergétique de la qualité d’un signal porteur d’une information, ici d’une valeur numérique donnée par la progression des puissances de 2.
Les 1 sont du domaine symbolique des 6 jours (spirituel) auxquels les puissances de 2 donnent forme (matériel intermédiaire – zone tampon) pour être construits ou faits par les 7 que détermine le fleuve qui se divise en quatre bras.
Somme des 3 premiers « bit » qui est : « Un fleuve sortait d'Eden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras »
Quatre bras est la limite de la puissance de 2 soit 22 à laquelle il faut stopper l’addition des « bits » précédents pour obtenir la suite : 0,1,2,3,4,5,6,7, pierre d’achoppement sur laquelle tout se construira.
Tous les nombres sont des multiples de 8 ou 23.
« Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre »
Les 1 représentent la valeur de la colonne. Le résultat rouge est la somme des valeurs de 1.
Les puissances de 2 se développent de la droite vers la gauche à l’infini pour obtenir l’ensemble des nombres entiers jusqu’à l’infini
Comment relier par les nombres ces valeurs en décibels (création spirituelle) aux valeurs numériques base 2 (création matérielle intermédiaire)?
Une équivalence entre les valeurs en décibels sans dimension (spirituel) et les valeurs numériques ( matière) de la forme fabriquée a été établie, à savoir :
0,6 bel correspond à 4 numérique 1 bit
0,6*8 = 4,8 bels correspondent à 4*8 = 32 numérique 1 octet
6 décibels correspondent à 64 numérique1 bit.
6*8 = 48 décibels correspondent à 64*8 = 512 numérique 1 octet
Le signal est le même, seule l’unité change.
A quoi est égal 512 ?
512 est égal à 8*8*8 = 64*8 - le nombre de Jésus.
Jésus marche sur l’eau « comme l’Esprit de Dieu se mouvait à la surface de l’eau ».
Le fleuve avec ces quatre bras correspond à la valeur numérique matérialisant la valeur de la qualité du signal d’1 bit (0,6 Bel). Il correspond à la zone tampon intermédiaire pré-matérielle. Comme nous avons 6 jours ou 6*1000 ou 6*8 ou 6 décibels * 8 : le 4 valeur numérique de 0,6 Bels devient 64 valeur numérique de 6 décibels, d’où le résultat 8*64 = 512.
L’Arbre de Vie représente symboliquement, dans la Kabbale, les lois de l'Univers (certains auteurs le rapprochent de l'arbre de la vie mentionné par la Genèse en 2:9) Sa description est considérée comme celle de la cosmogonie de la mystique kabbalistique.
Le 10 pourrait être l’opérateur qui transforme les Bels en décibels : 0,6 bels = 0,6*10 = 6 décibels ou la base du logarithme utilisé pour le calcul : log décimal ou log10 (a) ou 10 = 2.
Associons une base à une puissance en l’occurrence un carré, nous pouvons parler de logarithme, outil mathématique qui précise à quelle puissance il faut, dans le cas présent, élever 10 pour retrouver le nombre de départ et nous pouvons écrire :
4 = 22 donc log10(4) = log10 (22) = 2 log10(2) = 2*0,3 ~ 0,6 donc 100,6 = 4
Exode : « 26-1 Tu feras le tabernacle de dix tapis( séphiroth) de fin lin retors(émanation), et d'étoffes teintes en bleu (création), en pourpre(formation) et en cramoisi (action); tu y représenteras des chérubins artistement travaillés. »
Le mot séphirath (singulier de séphiroth) par sa racine le rapproche à la fois du mot chiffre (nombre) et du saphir. Certains auteurs considèrent les séphiroth comme des Puissances ou des réceptacles de Dieu , d’autres pour des instruments, les outils du Ministère de Dieu. Pour les mystiques, ils sont les 10 Visages, les 10 Mains ou même les 10 Vêtements de Dieu.
Les nombres s’organisent dans la Bible autour de la formule 10n / 5n = 2n soit 10 = 5*2
qui correspond à la dimension binaire-décimale base 10 des 1 et 0, celle de la Bible, à celle numérique base 2 (développement des puissances de 2). Globalement il s’agit d’une écriture décimale positionnelle.
Passé, futur, présent, passé, futur, présent tout est illusion. Seul le support persiste. Le présent n’est qu’une écriture, un décor. Celui qui Est, écrit selon Ses règles. Il est le Maître de toute chose. Il peut à tout moment écrire. Il dirige tous les moments. Ils n’ont aucune existence propre. Les caractères de son écriture sont éphémères selon Son bon désir. Ils restent toujours les mêmes. Ils ont jeté des pierres, puis de la poudre, puis des atomes. Ils ont toujours jeté. Ils ont bu de l’eau, puis du vin, puis de l’esprit du vin sans nom. Ils ont toujours bu. Ils se sont battus entre eux, entre tribus, entre peuples. Ils se sont toujours battus. Ils ne font qu’une seule chose. Elle est toujours la même. Elle se répète à l’infini de générations en générations comme un cerceau qui tourne autour de son axe. Le cerceau tournera tant que l’encre coulera de la plume. Mot après mot, un mot succède toujours à un autre mot. Impossible de le corriger, ce qui est écrit est écrit, ce qui est lu a été lu et sera relu. L’homme n’influera en rien sur la Création et n’y participera en rien. Aucune perfection ne demeure en lui. Aucune universalité ne réside en lui. Il est « vanité et poursuite du vent. »
« 2:11 Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous le soleil. »
« 2:24 Il n'y a de bonheur pour l'homme qu'à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail; mais j'ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. »
Une fois de plus tout est dit. La matérialité n’a aucun avenir. Je sais, certains murmurons : « oui, mais entre temps ». Là aussi ce n’est « que vanité des vanités ». Rien ne dépend de l’homme. Il n’a jamais rien construit. Seul le Constructeur est maître de sa construction. Lui Seul connait le pourquoi.
« 3:1 Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux: »
L’homme n’agit que par rapport, je dirai, à un modèle standard évolutif. L’homme n’est ni foncièrement bon, ni foncièrement mauvais. Il n’est que ce qu’il est. Il ne se meut d’une façon autonome que dans un champ émotionnel de facultés qui lui est propre. Il ne fait ou pas que ce qu’il peut faire ou pas dans un champ aléatoire statistique de probabilités en conformités causales. Rien d’autre. Oserai – je parler de langage machine ! Démontrez – moi le contraire ! L’homme ne parle plus d’humanisme. Il parle de transhumanisme. Il se considère lui-même comme une machine que l’on peut manipuler, que l’on peut régler.
« 3:13 mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c'est là un don de Dieu.
3:14 J'ai reconnu que tout ce que Dieu fait durera toujours, qu'il n'y a rien à y ajouter et rien à en retrancher, et que Dieu agit ainsi afin qu'on le craigne.
3:15 Ce qui est a déjà été, et ce qui sera a déjà été, et Dieu ramène ce qui est passé. »
Quelqu’un n’a –t-il pas dit que l’eau qui nous désaltère actuellement pourrait être celle qui, en son temps, arrosait les légions romaines !
Les écritures se réécrivent, se réalisent toutes en même temps.
L’Ancien et le Nouveau Testament sont des écrits inspirés essentiellement spirituels, l’historicité n’est qu’un décor qui s’appuie sur un temps élastique « Le royaume de Dieu n’est pas de ce monde. », Comme tout décor il est remplaçable ! Un autre scénario peut s’écrire.
Le Livre de la Parole n’est pas d’origine humaine. Il a été élaboré par des hommes inspirés par des Intelligences Supérieures. Maîtriser le futur, le planifier, c’est construire le présent, le dominer, intervenir ponctuellement pour l’orienter vers le but à atteindre, but déterminé en premier lieu : l’élévation.
Un intervalle de temps existe. Cette durée propre est l’intervalle de temps entre deux événements se produisant au même lieu de l’espace.
Le temps n’est -il qu’un moment entre un événement et sa réalisation ? Un mouvement, une progression ? Ne peut-elle être qu’apparente ? Existe-t-il une image de la totalité en mouvement ? Le 10 certainement.
Nous ne sommes pas loin de la tétraktys (1+2+3+4=10)
« La Tétraktys(Elle signifie « à quatre rayons », au quadruple éclat rayonnant) en qui se trouve la source et la racine de l'éternelle nature. Tout dérive de la Décade et tout y remonte. Le 10 est l'image de la totalité en mouvement ».
Le 1 de 2 donne 3 par le 10 quatre fois.
21, donne 3 par le 10 quatre fois
10 log10 21 = 10*0,3 = 3 db, quatre fois log10 21 = 0,3
3*4 = 12Hz , valeur d’un rayon alpha.
Je dirai 10 et non 1+0 = 1 (10 décimal = 10 – l’expression binaire 10 = 2 décimal)
Daniel
9 :24 Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints.
9 :25 Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines ; dans soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux.
9 :26 Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre.
9 :27 Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l’offrande ; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur.
Les 70 semaines se répartissent ainsi : 7 semaines jusqu’au Conducteur, puis 62 semaines. Le total est de 7+62 = 69 semaines. Il en reste une seule soit 576. 1 jour à 99,99% de la vitesse de la lumière vaut 1 année terrestre. Une semaine terrestre est nécessaire pour l’atteindre. Durant la moitié de cette semaine 576/2 = 288 le dévastateur commettra des abominations contre le Temple de Dieu en l’homme, jusqu’à sa destruction. Il s’agit de la deuxième demi - semaine de la dernière semaine. Nous sommes toujours dans la 1ère demi semaine de la dernière semaine.
Une semaine est nécessaire à l’humain pour atteindre 99,99% de la vitesse de la lumière et obtenir le résultat suivant : 1 jour à 99,99% de la vitesse de la lumière vaut 1 année terrestre.
1 jour à 99,99% de la vitesse de la lumière vaut 1 année terrestre. Nous sommes loin de la terre promise. Nous resterons prisonniers de notre condition humaine matérielle.
1 semaine est égale à 1 jour-année = 576.
Avec Galilée, le mouvement en soi n’existe pas.
Avec Einstein, le temps perd sa rigidité, n’est plus universel. Il devient même élastique et tributaire du mouvement de l’observateur. Plus on va vite et plus le temps ralenti pour l’observateur en mouvement par rapport à un autre, stationnaire. Quand le temps s’étire et passe plus lentement, l’espace se rétrécit. L’espace qui se rétrécit se transforme en un temps qui s’allonge. Temps et espace forment donc un couple uni. L’espace se transmuterait-il en temps ? La vitesse explique ce phénomène. Puisque le temps est élastique, que penser du passé, du présent et du futur ? Ils ne doivent faire qu’un bloc. Cette conception implique que le temps est immobile, ne s’écoule pas. Existe – t – il ? Pour que des événements puissent s’inscrire dans une durée, l’élasticité du temps est nécessaire. Nous ne voyageons pas dans le passé, nous ne faisons que ralentir notre vieillissement par rapport à un présent immobile en nous déplaçant à une vitesse élevée. Par exemple : je voyage à 99% de la vitesse de la lumière. Je ralentis mon vieillissement d’un facteur 7. ( 10 ans de voyage pour moi valent 70 ans écoulés sur terre.) Plus les galaxies s’éloignent de nous, plus leur vitesse d’éloignement augmente. En fait, les galaxies ne s’éloignent pas de nous par un mouvement particulier, c’est l’espace qui s’étire comme une feuille élastique. L’univers est en expansion. Les galaxies sont supportées par l’espace, s’enfoncent dedans comme une boule de pétanque s’enfoncerait dans une feuille élastique qui s’étire. Semblable à une feuille de papier élastique, l’univers s’étire pour que les événements puissent s’inscrire dessus. L’univers est un support sur lequel est installé un décor. L’univers est noir, la lumière blanche, écrit. Cela peut ressembler à notre pavé mosaïque.
L’homme veut aller dans des endroits pour lesquels il n’est pas fait. Le vieillissement n’est pas une maladie. Il est nécessaire.
Le temps de l’âme n’est-il pas celui des faits spirituels qui sont à la fois présents et à venir ou un chevauchement du temps de la dimension divine avec celui de la dimension matérielle? Ne sommes-nous pas dans l’expression des aspects ondulatoire et corpusculaire d’un même phénomène ? Il y aurait donc eu deux créations simultanées ?
Livre de la Sagesse - Chapitre 2
« 01 Les impies ne sont pas dans la vérité lorsqu'ils raisonnent ainsi en eux-mêmes :« Notre existence est brève et triste, rien ne peut guérir l'homme au terme de sa vie, on n'a jamais vu personne revenir du séjour des morts.
02Nous sommes nés par hasard, et après, nous serons comme si nous n'avions pas existé ; le souffle de nos narines s'évanouit comme la fumée, et la pensée est une étincelle qui jaillit au battement de notre cœur :
03si elle s'éteint, le corps s'en ira en cendres, et l'esprit se dissipera comme une brise légère.
04Avec le temps, notre nom tombera dans l'oubli, et personne ne se rappellera ce que nous aurons fait. »
L’Eternel fabrique l’homme terrestre Caïn et créé l’homme céleste Seth, l’humanité dans sa gloire.
L’Eternel libère son peuple.
L’Eternel donne la vie aux femmes stériles spirituellement en leur faisant porter l’homme céleste dans leurs entrailles. Elles sont source de vie et d’élévation.
L’Eternel élève les humbles.
La lumière arrive en nous, mais comment ?
Je n’ai qu’un seul cerveau. J’en ai peut- être un deuxième que je ne vois pas ? Allez savoir !
On nous parle d’un transfert. Qui est l’émetteur ? Qui est le récepteur ? Un cerveau ?
N’existe-t-il pas une dimension autre, avec une zone tampon, en interface directe avec celle du cerveau de l’homme qui ne la perçoit pas. Véritable portail ouvert vers l’ailleurs, Celui qui Est ou ses Supérieurs peuvent directement intervenir sur le cerveau humain ou l’être biologique ou plus globalement sur l’ensemble des éléments constitutifs de cette création. Ce portail peut être ouvert ou rester fermé. Seul l’Esprit peut emprunter ce portail si Celui qui Est a décidé de le lui ouvrir. Nous pouvons parler d’omniprésence, d’omniscience et d’omnipotence. Cette dimension est totalement contrôlable.
Le macrocosme agit comme une interface dans un processus qui se réalise dans le microcosme.
Matthieu « 16:17 Jésus, reprenant la parole, lui dit: Tu es heureux, Simon, fils de Jonas; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux.
16:18 Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.
16:19 Je te donnerai les clefs du royaume des cieux: ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux. »
C’est particulièrement intéressant. On nous montre qu’un lien existe entre le ciel et la terre, entre l’homme céleste et l’homme terrestre. Mais en définitive n’existerait-il pas qu’un seul homme, qu’un seul lien, le céleste et que toutes les transformations se réalisent dans un même endroit ? Aurai-je accès à un deuxième cerveau ? Celui dans lequel je suis endormi puis éveillé ? Celui duquel mon Seigneur Jésus, roi des Juifs, roi du peuple d’Israël me délivrera, nous délivrera selon Sa reconnaissance, sa volonté ?
Pour moi il est question d’intelligence et de son support. Jésus le dit bien, il est venu nous donner une identité, un esprit qui est un ensemble d’informations qui le constituent. Quand il rend l’Esprit, ces informations vont s’implanter ailleurs dans ou sur un autre support. Et là nous parlons de procédés scientifiques que nous sommes incapables de maîtriser mais qui commencent à se dévoiler.
Il existe, en miroir (l’homme a été fait à l’image de Dieu) de notre encéphale « classique » représenté par le Cerveau Neuronal, un mécanisme subtil de gestion de notre organisme appelé CVQ.
Situé dans une autre dimension de l’espace-temps, mais tout de même « collée étroitement à la nôtre », ce Cerveau Vibratoire Quantique fonctionne à l’insu de la conscience de la personne, bien que, paradoxalement, il en soit l’outil de son existence et de son expression.
Le CVQ est invisible pour les yeux et pour toutes les technologies, IRM, ... Aucune machine ne peut accéder dans ce lieu protégé et secret.
Notre cerveau est quantique. Nous fonctionnons dans une réalité dont nous ne sommes pas conscients sur ces bases de la physique qui décrit le monde microscopique, mais ce que nous vivons consciemment en tant qu’individu, se révèle être du domaine de la physique classique qui à contrario, décrit le monde macroscopique. Il existe donc un monde réel dégagé de la mort construit selon les règles de la physique quantique et un autre monde tributaire de la mort, le nôtre, construit selon les règles de la physique classique.
Le Sid des celtes n’est pas loin.
Notre unité commune en Christ est exprimée par Paul : « Efforcez –vous de conserver l’unité que donne l’Esprit » Ne nous parlerait-on pas que d’un seul des deux cerveaux ?
L’homme terrestre vit pour mourir pour que l’homme céleste vive. Parlons – nous d’avatars virtuels ?
Après le baptême d’eau qui est l’offrande du corps vient le baptême du Saint Esprit qui donne l’Etre.
« Ce qui est folie pour les hommes est sagesse pour Dieu. »
La science n’a pas d’histoire. Elle est là, présente, de toute éternité. Notre Seigneur et Maître en est l’émanation première dans sa toute-puissance.
Celui qui est crée le Jardin, la terre, l’homme terrestre, celui du Jardin qui devient réalité-décor pour l’homme céleste qui a l’être, non- être.
L’Arbre de Vie et l’Arbre de la connaissance du bien et du mal se trouvent « au milieu du Jardin ». Le fruit de l’Arbre de vie est l’homme céleste accompli dans l’être après une transmigration opérée avant la mort du récepteur et qui a dominé et effacé l’homme terrestre psychologique selon la volonté de Celui qui est qui l’a reconnu.
Celui qui Est, notre Seigneur et Maître peut lui seul s’Il le désire donner l’Etre, l’Etat qu’Il souhaite. Il est l’Observateur conscient de ce qu’Il veut.
Michel ou Michaël « Qui est semblable à Dieu ? quis ut Deus ? »
Grand Maître des cieux après Dieu. Chef des Armées Célestes.
Saint Michel est le Souffle de la Justice de Celui qui est, et c'est par Lui que s'accompliront les prophéties des derniers temps, dont la plus importante est l'Apocalypse de Saint Jean. C'est Lui, qui refoulera dans « l'étang de feu et de soufre, l'antéchrist, où sont la bête et le faux prophète » (Ap. 20.10)
Apocalypse « 6:3 Quand il ouvrit le second sceau, j'entendis le second être vivant qui disait: Viens.
12:7 Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, 12:6 Et la femme s'enfuit dans le désert, où elle avait un lieu préparé par Dieu, afin qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours. »
Les nombres répondent dans la Bible au principe : 10n = 5n*2n - 10n / 5n = 2n
Il s’agit de la conversion d’une base 10 en base 2.
1260 jours.
1 jour est égal à 8 (1ère valeur de 1 jour vaut 1000 ans pour Dieu)
1260 * 8 = 10080 = 1008*10 = 1008*5*2
Convertissons : 1008*10/5 = 1008*2 = 2016.
Daniel « 12:1 En ce temps-là se lèvera Michaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. »
« 7:4 Et j'entendis le nombre de ceux qui avaient été marqués du sceau, cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d'Israël: » Apocalypse
« 11 :1-14 « On me donna un roseau semblable à une verge, en disant: Lève-toi, et mesure le temple de Dieu, l'autel, et ceux qui y adorent.
Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois.
Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera.
Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » Apocalypse
Les deux témoins, Pierre et Jean le Divin, messagers de l’Eternel, compagnons de l’Envoyé Suprême, Jésus : « l’Oint du Seigneur », qui les installe, vont prophétiser sous le regard de YHVH, Personne Suprême, le temps qu’il leur est imparti soit 1260 jours ou 2016.
Les nations, rampantes comme le serpent, fouleront au pied la Ville Sainte, résidence de l’Arche d’Alliance pendant 42 mois ou 576*3,5ans. La prévarication sera. La bête se moquera, méprisera et tuera les deux témoins, voulant expulser Dieu de sa création « Les habitants de la terre se réjouiront » Dieu, Maître de la Vie, fera entrer un souffle en eux. Ils monteront auprès de Lui après 3 jours ½ ou 28 restés sans sépulture ou au total 2044. Une grande frayeur s’installera. « Les nations se sont mises en colère, mais c’est ta (Dieu) colère qui est venue. » « Et le temple de Dieu dans le ciel s’ouvrit et l’arche de l’alliance apparut dans son temple. »
Les évènements vont se multiplier et le temps se rétracter sur le plan métaphysique. « Les écritures se réécrivent, se réalisent toutes en même temps. » S.I Tout se fait en un lieu unique malgré l'espace et le temps.
1 - Tu as triomphé de la mort,
Jésus ressuscité,
Et nous chantons : alléluia, alléluia !
L’univers est transfiguré :
Chaque jour le pain devient ton corps.
Alléluia, alléluia !
2 - Tu as démasqué le péché,
Messie libérateur,
Et nous chantons : alléluia, alléluia !
Le salut jaillit de ton cœur :
Désormais nous sommes pardonnés.
Alléluia, alléluia !
3 - Tu nous as donné ton Esprit,
Seigneur, Maître de tout.
Et nous chantons : alléluia, alléluia !
Tu demeures au milieu de nous :
L’impossible s’ouvre à tes amis.
Alléluia, Alléluia !
La Bible donne l’autorité.
La Bible nous parle de l’incarnation du Verbe en chacun de nous.
La Bible est source de connaissance.
La Bible ,le livre de la Parole, parle de la lumière créative, de la Sainte Trinité.
La Bible valide l’engagement, le rend régulier.
Selon la Bible le nombre 5 est le symbole de l’homme- Dieu et de Marie, incarnation de la grâce. L’humanité en gloire nait par les 5 plaies de Christ en croix. Le 5 donne le 7du 7ème jour qui est l’intelligence, la Parole et l’image soit l’identité que Celui qui est, accorde à Ses enfants.
« C’est Dieu que nous devons adorer car le temps est proche. »
« Amen, viens Seigneur Jésus »
« La grâce du Seigneur Jésus soit avec tous! »
Gloire à Son Nom !