Nummer
De Source Sublime
Très Grand, mes sœurs et mes frères,
Mon adversaire principal, reflet dévoyé de mon image dans le miroir, toujours à l’affût, n’attend qu’une faiblesse ou inattention de ma part pour m’attirer sous la terre, terreau de sa croissance. Ce « moi » change continuellement, s’adapte, se dissimule insidieux, crée des projets illusoires et dit : « Cela, c’est moi, cela c’est moi ». Ce « moi » de plusieurs désirs, cache le seul, le vrai , celui qui enfoui cherche le retour à l’unité débarrassé du seul crime contre l’esprit qu’il pourrait commettre : se prendre pour l’origine de toute chose et vouloir à son tour créer : grande prévarication. C’est pour cela que je dis souvent : j’aime les nombres. Ils me le rendent bien car ils me font voyager dans le mystère de leur conceptualisation, de leur rapport et proportion, mais le plus souvent me montrent des signes de Sa Présence.
Avant de poursuivre j’aimerai vous faire part de quelques réactions personnelles provoquées par la lecture de deux documents dont j’ai été rendu destinataire et vous dire en fait qui je suis.
J’ai lu que : « nos ateliers sont des cellules où chacun d’entre nous se ressource, se reconstruit, exerce pour soi-même ce processus d’individuation par lequel un être est supposé devenir « un individu » psychologique, c’est à dire une unité autonome, une totalité ; c’est à dire une voie qui nous invite à devenir un être réellement individuel ; un retour à notre unité la plus intime. »
Pour moi il manque l’essentiel, l’ouverture à la vie. Mourir en bonne santé physique et psychologique est là le but recherché avec bien sûr en prime un bénéfice comptable pour la société marchande. N’oublions pas Mammon. Par cet intellectualisme rationnel on veut nous coucher sur un canapé pour nous guider dans une vie d’angoisse et de névrose. Comment peut on dire avoir raison gardée en toute chose uniquement par ce que l’on refuse le mystère qui nous entoure ou par ce qu ‘ on ne le voit pas. Ceux qui tiennent ces propos ne risquent-ils pas de devenir « la paille à brûler ». Chacun choisit son salut ou sa perdition.
Que peut on ajouter ? Plus globalement il s’agit de la conception de l’homme dans le cadre de l’évolution.
- La conception scientifique est de considérer l’homme comme un être achevé ( psychologiquement, physiologiquement, historiquement, culturellement ….etc. ) dont les résultats de ses activités sont considérés comme des preuves de son évolution. Il s’agit de l’évolution générale de tous les hommes , de la totalité de l’humanité. Il ne s’agit que d’une approche sociologique du court terme.
- L’homme est un être inachevé d’où il pourrait résulter quelque chose de différent. Il est une graine, temporaire soumis à transformation.
- Le livre d’Enoch : « Eux ils ont été créés pour mourir. Voilà pourquoi je leur ai donné des femmes afin qu’ils cohabitent avec elles, qu’ils engendrent des enfants qui perpétuent leur race sur la terre. » Cette conception peut faire grincer des dents. Qui doit évoluer et vivre ? N’est ce pas peut être l’être humain enfoui dans l’animal humain.
Une dernière réaction au sujet d’un rite qui en concurrence avec un autre décrète être maçonnerie chimiquement pure, dépourvu de tout enseignement dogmatique, universel par ce que le terme de sa voie est universel.
A cela , la plupart du temps je réponds que l’on nous demande de déterminer les règles de pensées par lesquelles on peut atteindre la vérité, aussi différentes soient elles, et non de rendre intelligible tout ce qui existe avec sa raison d’être. La construction est plus logique que rationnelle. Dites - moi, comment on peut subordonner la raison universelle à l’individuelle sans subordonner l’objectivité à la subjectivité et au nom de cette raison dénaturée nier et expulser Celui qui Est de sa création. . L’universel assimile toutes les voies. La Tunique sans couture du Christ est l’exemple même d’universalité. Elle assimile toutes les voies qui mènent à elle . En ce sens toutes les voie sont universelles. Autrement méfions - nous, la pensée totalitaire n’est pas loin.
Pour clore mes réactions , je vous dirai ma conception de la maçonnerie. C’est celle qui me fait remonter des ombres de la caverne vers le soleil par l’usage d’une fameuse échelle qui comme par hasard est composée d’un quadrivium et d’un trivium et dont la géométrie ou mesure de la terre est pour moi essentiel. Débarrassé de notre égotisme et égoïsme nous devrions pourvoir accéder à cet amour universel par lequel tout se construit. Elle est aussi issue pour moi du symbolisme biblique du Temple de Salomon dont la légende d’Hiram doit me permettre d’expérimenter la passion de Jésus de Nazareth pour accéder à la connaissance en soi.
Après cette digression , pardonnez-moi, je reviens à mon sujet , à savoir les nombres comme je les vois ou comme ils se montrent.
Je pense souvent en souriant que notre voyage est celui d’aller d’un univers perpétuel existant, le notre, qui n’a pas de fin, qu’il soit évolutif ou statique mais cependant relatif et contingent vers un univers éternel qui n’a pas eu de commencement et qui n’aura pas de fin, c’est à dire qui existe par lui même de toute éternité et pour l’éternité. Etant incréé, il serait nécessaire, c’est à dire absolu et parfait, donc immuable. La seule question est de savoir s’il existe des contradictions entre les deux univers si non des compatibilités ou points de passage doivent être possibles. Trois sous ensemble ou perceptions de notre univers composé de 55% d’hydrogène, 44% d’hélium et de 1% de tous les autres éléments , se présentent à nous, à savoir :
- L’univers cosmique ( niveau des galaxies)
- L’univers macroscopique ( système solaire, planètes)
- L’univers quantique ( domaine des particules insaisissables qui ont tendance à exister)
Ces trois univers ont leurs paramètres propres, leurs constantes et leurs lois de conservation. Des différences d’échelle existent. Le rationnel macroscopique a l’air de s’opposer au relativisme cosmique. Comment assurer la cohérence ?
Albert Einstein a résolu le problème posé. Il a démontré que les lois de la nature, données dans un système de référence, sont du même coup données dans tous les systèmes. Serait-il là, l’ordre sous-jacent qui organise tout. Pour être clair dans mon interprétation, chaque système ou groupe de systèmes par l’intermédiaire de coefficients spécifiques verrait le jour par des opérations effectuées sur les composantes du système de références. Il est tout à fait possible d ‘envisager les notions de rapports et proportions . Gardons à l’esprit que si nous parlons de système de référence nous parlons de volonté intelligente.
Pour ce qui est de l’univers quantique, il est fascinant par ses concepts. Les particules qui ont tendance à exister son insaisissables. Se heurtent de plein fouet les notions de causalité, d’incertitude, de déterminisme, d’indéterminisme, d’objets réels ou mathématiques, d’interdépendance ou pas, de systèmes cachés ou pas qui gèrent l’aléatoire ( ce n’est pas moi qui l’envisage). On en revient toujours à la même hypothèse. Ce que savent les scientifiques concerne l’insécabilité de la particule ( photon, électron) et celle de son train d’ondes et l’indissociabilité des deux aspects qui représentent une seule réalité physique, étant appelée « complémentarité » pour cette raison. De part notre ignorance nous considérons comme complémentarité le caractère qui lie plusieurs aspects différents d’une même essence en sachant qu’ils ne sont pas associés physiquement. En fait la masse de la particule et ses rayonnements ne sont pas des réalités objectives. Divin ! Le mot est lâché, on parle bien d’essence. Cette complémentarité, je la verrai bien dans le pavé mosaïque que l’on pourrait également désigner comme une dualité au tiers inclus ( noir, blanc, gris) . Le gris serait l’essence concernée. Il est lié au noir et au blanc. Dans ce cas le noir et le blanc sont issus du gris, résultat d’une diffraction. On ne peut pas être uniquement noir ou blanc. Nous devons nous hisser à la hauteur du gris.
A présent revenons sur le plancher des vaches, dans notre univers macroscopique. Que nous dit - on ? Il existe trois dimensions à savoir : les 3 perpendiculaires ( hauteur, largeur, longueur) et l’espace temps qui est un espace géométrique. Le temps ne serait - il qu’un espace sur lequel se déplacent des événements, agrégats d’informations laissant comme traces que des intervalles s’inscrivant dans la mesure, la surface ou le volume. Ne peut-on pas se considérer individuellement comme un agrégat d’informations contenu dans un volume et que nous ne sommes pas une réalité objective.
Nous connaissons trois sortes de figures géométriques :
-1 dimension : les lignes ou déplacement d’un point,
-2 dimensions : les plans ou surfaces ou déplacement d’une ligne,
-3 dimensions : les volumes ou déplacement d’une surface.
Imaginons une ligne droite limitée par une grandeur ou deux points. Elle se déplace perpendiculairement à elle - même sur une distance égale à sa longueur. Un carré est formé. Ce carré se déplace dans l’espace dans une direction perpendiculaire à deux de ses cotés adjacents. Il parcourt une distance égale à la longueur d’un coté du carré. Un cube est formé. Le carré est donc la trace du déplacement d’une ligne, elle - même trace du déplacement d’un point. Et le cube est la trace du déplacement d’un carré. Mais ce cube, ne pourrait-il pas se déplacer dans l’espace dans une direction non contenue en lui - même, c’est à dire dans une direction perpendiculaire aux trois autres. Existe-t-il une quatrième perpendiculaire ou une autre géométrie qui nous est inconnue ? Ne pouvons-nous pas extrapoler et affirmer que seul le point possède une réalité, car c’est uniquement de son déplacement que dépendent les constructions géométriques. Allons plus loin, ces formes ne sont - elles pas uniquement dues aux différentes fréquences vibratoires du point ? Les courbes ne sont - elles pas l’expression d’une autre dimension ? En effet dans une sphère la courbe est la représentation géométrique d’une droite. La sphère n’est – elle pas la représentation du cube ?
Où trouvons exposés ces notions de mesure, surface et volume ?
«………. Elle avait une haute et grande muraille. Elle avait 12 portes, et sur les portes 12 anges, et des noms écrits, ceux des 12 tribus des fils d’Israël : à l’orient 3 portes, au nord 3 portes, au midi 3 portes,et à l’occident 3 portes. La muraille de la ville avait 12 fondements, et sur eux les 12 noms des 12 apôtres de l’agneau ……Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d’or, afin de mesurer la ville, ses portes, et la muraille. La ville avait la forme d’un carré, et sa longueur était égale à sa largeur. Il mesura la ville avec le roseau et trouva 12 000 stades ; la longueur , la largeur et la hauteur en étaient égales. Il mesura la muraille, et trouva 144 coudées, mesure d’homme, qui était celle de l’ange. »
La ville mesure 12 000 stades.
Si nous considérons 12 000 comme une expression binaire, plus exactement octale, nous pouvons écrire la correspondance suivante en binaire : 1100 000 ou 1100 (binaire) = 12 en décimale.
1100 000 en binaire correspond à 96 décimal.
Le côté d’un carré représentant la ville vaut : 96/4 = 24 et chaque porte vaut : 24/3 = 8
La longueur, la largeur et la hauteur sont égales. Nous avons un cube de 24 de côté.
Le volume est de 24*24*24 = 13 824
Nous avons 3 portes par côté donc 9 volumes identiques (3*3) et chaque volume vaut 13824 / 9 = 1536,
Ce 1536 correspond à : 8*8*24. Nous pouvons considérer que verticalement nous retrouvons aussi les 3 portes et donc globalement dans le cube nous avons 3*3*3 = 27 volumes de 8*8*8 =512 et 27*512 =13824.
3 = nombre de parties = 3 valeur partie : 8 donc 3*8 = 24
3*3 = nombre de surfaces = 9 valeur surface : 8*8 = 64 9*64 = 576
3*3*3 = nombre de volumes = 27 valeur volume : 8*8*8 = 512 27*512 = 13824
Hauteur de la muraille depuis les fondements :
144 coudées = 144*0,5236 = 75,3984 = 24*3,1416 = 24*ח
Calculons le volume composé par la muraille : 75,3984*24*24 = 43429,478
Calculons le rapport existant entre le volume créé par la muraille et le volume de la ville :
43429,478 / 13824 = 3,1416 = ח
Revenons à la Tradition. La Tradition, entre autres est un mode de transmission d’une information de génération en génération. Le symbolisme des nombres est de nature aussi ancienne que le monde. Vouloir l ‘ étudier et le comprendre serait passer en revue tous les enseignements philosophiques, issus de la pensée collective des initiés. Les Celtes, les Veda, les Chaldéens, les Egyptiens et les hébreux usèrent chacun de correspondances numériques mêlées à diverses théories scientifiques.
Selon Platon, le nombre serait un intermédiaire entre la Pensée suprême et les objets matériels. Les docteurs juifs estimaient que le « le nombre est une limite négative correspondant à la matière et s’opposant à la substance qu’est l’Esprit. » Pour les Pères de l’église, soit ils en admettent les principes pythagoriciens, à savoir que les nombres impairs véhiculent l’esprit et que les nombres pairs sont le support des structures matérielles, que les nombres s’expriment par leur inverse en exaltant leurs vertus. , soit les évoquent sous la forme d’émanation de la grâce spirituelle, soit encore en tant « qu’intelligence empêchant d’atteindre les passages figurés et mystiques des Ecrits ».Lao Tseu, dans la Chine antique, à la même période que Pythagore, développa le Taoïsme, philosophie basée sur les nombres. Ayons toujours à l’esprit que le nombre peut s’interpréter de façon presque radicalement différente selon que l’on juge du nombre d’après l’objet étudié ou que l’on détermine l’objet d’après le nombre et c’est pour cela que nous devons posséder la connaissance qui va permettre à partir du nombre ( en tant que conférant à l’objet une valeur qui lui est propre) de se rattacher, par analogie peut être, à une idée fondamentale qui lui confère son universalité. Mais il peut être aussi, tout simplement, la caractéristique, le paramètre, le composant ou un élément d’un message mathématique numérique qu’il nous est donné à découvrir. Cette forme de message est universelle car elle s’adresse à une intelligence, à une compréhension, la notre, dégagée de tout formalisme temporel, historique ( qu’il soit idéologique ou autre). Cette forme de message montre la volonté intelligente d’une Présence communicante. Tous les nombres découlent les uns des autres à partir de un et tous ont un sens.
Je ne vais rien apporter de nouveau, mais les chiffres et les nombres qui reviennent systématiquement et quelque – soit le support sont : 1- 2 - 3 - 4 – 5 – 6 – 7 – 8 – 9 – 10 – 12. Les autres sont souvent des multiples : 8*9=72, 3*3= 9, 3*9 = 27 …etc.
Certains nous apparaissent étranges comme : 11, 110 ,111,…etc. Que peuvent –ils illustrer ? J’ai une proposition à vous faire : 11 est une expression binaire qui vaut 3 décimal, 111 est une expression binaire qui vaut 7 décimal, 110 vaut 6 décimal. Conclusion : on nous demande de considérer les expressions binaires comme des chiffres et des nombres à part entière ayant leurs propres règles arithmétiques, leur propre dimension.
Je prends un exemple :
En calcul décimal 3*3 = 9
En calcul binaire 11*11 =121 mais l’expression binaire de 9 décimal est : 1001.
Comment de 121 retrouver 1001 . Tout simplement en considérant que 2 est la somme simplifiée binaire de deux 1 sans prendre en considération la retenue .
1
111
1001
Nous retrouvons une addition binaire classique où 1+1 = 0 avec une retenue 1 basculée sur la gauche. A la vue de cette addition on pourrait conclure que 111 (7 décimal) + 1 = 9 . C’est oublier la position du 1 ( en deuxième à partir de la droite où l’on n’a pas pris en compte le zéro.
111 (7) + 10 (2) = 9 décimal . 121 est une dimension intermédiaire de calcul. En calcul binaire nous allons toujours de l’orient vers l’occident et de midi vers minuit.
Quelques exemples tirés de nos rituels .
- Rite français traditionnel ( Maître)
De quelle grandeur était le Tombeau de notre R M ,
De 3 pieds de largeur, de 5 pieds de profondeur et de 7 pieds de longueur.
3 pieds de largeurs correspondent aux 3 premiers bits d’un octet ( 8 bits) et dont la somme est égale à 7, en respectant le déroulement de la séquence 0,1,2,3,4,5,6,7.
5 est le nombre de bits restants de l’octet.
Nous retrouvons également notre chandelier à 7 branches qui a en fait 8 lumières en comptant le zéro.
La fête d’Hanoukka, la fête des lumières qui commémore une victoire miraculeuse des juifs sur les occupants syriens peut très bien illustrer ces 8 lumières. En effet , désireux de rallumer la Menora, le chandelier d’or à 7 branches, ils ne trouvent qu’une petite fiole d’huile consacrée munie du sceau du Grand – Prêtre. Suffisante pour un jour , l’huile brûla 8 jours. Ce qui est surprenant malgré tout : c’est l’étonnante victoire d’une poignée de combattants contre les puissantes armées syriennes. L’histoire est - elle vraiment une réalité ?
Rituel 1er ordre – Grade d’Elu
Le tour de la chambre du conseil sera éclairé par 6 grandes lumières attachées sur la muraille. Dans l’intérieur, sur le côté droit en entrant, on placera 9 chandeliers où sont 8 lumières. La neuvième sera élevée et distante de deux pieds environ des autres.
Comment interpréter ce passage ?
Nous devons considérer les 2 pieds comme 2 intervalles.Si à 8 lumières nous ajoutons 2 intervalles nous obtenons 10 et non 9. Donc une fois de plus les 8 lumières correspondent à 0,1,2,3,4,5,6,7 auxquels on ajoute 2 intervalles et nous obtenons 9.
Sans arrêt on nous met en garde : n’oubliez jamais le zéro , arrivé tard dans nos mathématiques.
Rituel Grand Elu Ecossais
Les lumières seront au nombre de 27, divisées en 3 groupes de 9.
Nous retrouvons là la Nouvelle Jérusalem développée plus haut.
Pour terminer, que peut bien représenter le 9 ? Pour moi il représente la dimension binaire.
2 décimal vaut 10 binaire
1 décimal vaut 1 binaire
donc 10 – 1 = 9 et ce 9 vaut 1 décimal.
Ex : 9*9 = 81 qui induit que 8 vaut 0. Dans cette dimension 8 vaut 0 et 9 vaut 1 équivalent décimal.
Les musulmans tournent 7 fois autour de la Kaaba ( phonétique) qui est une pierre noire, mais un volume pour moi égal à 2 puissance 3 = 8.
Les 7 jours de la Genèse .
« Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »
Il s’agit du zéro.
« Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite : et il se reposa au 7ème jour de toute son œuvre qu’il avait faite. »
Il s’agit du 7ème jour mais qui correspond à 8 possibilités avec le zéro.
Nous pourrions dire qu’un seul octet a suffi pour créer le monde. Ce n’est pas aussi simple.
Nous sommes tous des voyageurs. Si nous gardons confiances et nous ajustons, ailleurs nous partirons.
J’ai dit.