Epouse microprosope
L’épouse du Microprosope
« Quod superius macroprosopus sicut quod inferius microprosopus » est une ancienne formule hermétiste qui signifie: Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.
Table émeraude
« En vérité et sans conteste
Tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut
Et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas
Pour accomplir les miracles d'une seule et même chose »
Le Macroprosope et le Microprosope sont le grand monde ou l’univers et le petit monde ou l’homme ou le corps humain comme le monde en réduction par exemple pour la Kabbale.
Prosope indique dans l’antiquité grecque les masques des acteurs de théâtre. Les sens de caché, dissimulé et invisible sont donc induits.
La théorie selon laquelle tout se répond dans l’univers, fait correspondre à la totalité (macrocosme) une infinité de modèles réduits (microcosme) qui imitent d’une manière plus ou moins parfaite la richesse du cosmos. Ce thème est développé dans les conceptions du monde qui estiment que « tout est dans tout ». Il s’agit là de la recherche d’un lien entre le visible et l’invisible ou l’apparence et l’essence pour essayer d’obtenir l’unité. Oui, mais entre quoi et quoi ? Actuellement, ce rapport entre l’homme et le cosmos tend à disparaitre au profit de l’individu qui s’affirme comme unique source de valeur. Il ne se pense plus à l’intérieur de l’univers ce qui efface le parallélisme qui existait auparavant entre le microcosme et le macrocosme.
Le tout est- il supérieur ou égal à la somme des parties ou non ?
Parlons plutôt de physique microscopique, de l’invisible non observable comme la physique quantique et de la physique observable, macroscopique, celle qui nous régit. La dernière découle de la première, le lien et non l’union existant entre les deux faisant l’objet de toutes les recherches.
D’après la tradition biblique, l’être humain est à la fois terrestre et céleste. Son vêtement terrestre, ou corps, est constitué de poussière provenant de l’univers et son fondement céleste est insufflé par le divin. Le corps n’est pour le Zohar qu’une enveloppe, qu’un simple vêtement. Toutefois, malgré cette enveloppe, les âmes peuvent voir les formes célestes et contempler la gloire de leur Maître.
Cette approche est très intéressante car elle nous parle du corps humain comme le font actuellement les biologistes en le qualifiant de simple unité biologique autonome et émotionnelle et je rajoute sans existence propre. Dire que c’est de la transformation du corps biologique que nait sa dimension spirituelle, pour moi c’est partiellement inexact, voire inexact. Le corps humain n’a aucune possibilité de transcendance. Il ne supporte que l’âme ou plus précisément accueille l’Etre qui selon les textes est donnée à tout le monde et c’est pour cela que nous « pouvons contempler la gloire de Notre Maître » étant toujours sur le même niveau de perception dimensionnelle par l’Etre. L’accès à l’extérieur est à l’intérieur de nous. Souvenons- nous d’Adam et Eve qui se sont vus nu et des fils de Noé qui recouvrent la nudité de leur père. Nous pouvons parler de connexion et de rupture de connexion, d’éveil et de sommeil, du silence et de rupture du silence. De qui dépend cette connexion ? De nous peut- être par notre comportement, par le niveau de notre foi, de notre connaissance acquise mais plus certainement uniquement de Celui qui est selon Sa volonté. Seul l’Etre est concerné. C’est alors qu’Il nous crée. Certains sont conscients de la connexion, d’autres non, mais elle est là et opérante. Ne soyez pas incrédule. Tout ceci relève d’une physique inconnue des hommes que malgré tout ils pourraient envisager de comprendre, s’en approchant petit à petit par une connaissance théorique et expérimentale. Vous comprenez bien que l’homme terrestre qui dans ce cas a mangé le fruit de l’arbre de la connaissance ne pourra de part lui-même façonner l’Etre à son image, à l’image de l’homme mortel sans existence propre. La prévarication se trouve là : vouloir se fabriquer son propre Etre à son image propre, à sa ressemblance. Ce ne serait qu’une chimère monstrueuse éphémère sans vie. Avant de le laisser aller plus loin, il sera dévoué par interdit. Le répliquant veut- il se dupliquer, se prend- il pour le Maître, se révolte –t- il contre Lui ?
« C’est l’arbre de leur vie qu’ils ont placé au milieu du paradis. Mais moi, je vous enseignerai quel est le mystère de leur vie, c’est-à-dire le projet qu’ils ont fait ensemble de (fabriquer) la ressemblance de leur esprit.
« (Cet arbre) est celui dont la racine est amère et dont les branches sont mortes. Son ombre est haine et il y a de la tromperie dans ses feuilles. Sa fleur est l’onction de la perversité et son fruit la mort. Sa semence est désir et fleurit dans l’obscurité. Ceux qui goûtent à cet (arbre), leur lieu de séjour est l’Hadès et l’obscurité leur lieu de repos. »
Que nous dit encore le Zohar ?
Toutes les âmes de l’univers sont « une » sur le plan mystique et proviennent de l’Adam primordial (Rivière céleste, Réservoir des âmes) qui, elle-même, vient du d’En Haut. C’est tellement vrai.
L’âme naît dans la Rivière céleste et elle est stockée dans le « Réservoir », appartenant au 7ème ciel.
L’âme attend le corps auquel elle est assignée, car elle est prédestinée. (Ce qui est proche de la réalité. On parle alors de transmigration consubstantielle avant incarnation. Tout ce qui est en bas est comme tout ce qui est en haut.) Parfois elle se rebiffe et descend sans son gré, notamment quand elle sait qu’elle sera souillée dans le corps assigné. Avant de descendre l’âme passe nue devant le Créateur, à travers la « chambre d’amour » (Nous pouvons l’appeler zone tampon d’évolution avant de se retrouver dans la réalité du corps ou plus exactement décor.) et jure devant lui de réaliser sa mission sur terre et d’atteindre les mystères de la Connaissance et de la Foi, une autre réalité.
Au commencement du Temps, après que les Elohim (les Fils de Lumière et de Vie ou les Constructeurs) eurent forme, de l'Essence éternelle, les Cieux et la Terre, ils formèrent les mondes six par six.
Le septième est Malkuth notre Terre, sur son plan, qui est le plus bas de tous les autres plans de l'existence consciente.
« Malkuth,10ème séphira : centre qui représente la Réalité Physique, associée à la Planète Terre, appelée la Mère Inferieure, la Matrone, la Reine, et le Royaume de la Fondation, est représentée comme l'Epouse du Tétragramme, ou Microprosope (le Second Logos), l'Homme Céleste. Lorsqu'elle sera délivrée de toute impureté, elle se réunira au Logos Spirituel, ce qui aura lieu dans la Septième Race de la Septième Ronde --- après la régénération, au jour du Sabbat. Le Sabbat signifie le Repos. Ce n'est pas le « septième jour » après six jours, mais une période dont la durée équivaut a celle des sept « jours », ou a une période quelconque composée de sept parties. »
Une autre approche
Syzygie:
La définition courante est que la syzygie est un terme qui décrit l'union en symbiose de figures mythologiques, apparaissant notamment dans la tradition alchimique. Il s'agit de la réunion de couples de contraires, homme et femme, soleil et lune. L'androgyne hermétique en est un des exemples les plus connus.
La définition scientifique est préférable : « En astronomie, une syzygie est une situation où trois objets célestes ou plus sont en conjonction ou en opposition. Ce mot est généralement utilisé pour le Soleil, la Terre et la Lune ou une planète. »
« Soleil, lune, terre me parlent et une fois de plus ont été dissimulé derrière une approche phénoménologique des cycles intangibles de la nature ou objective, des concepts scientifiques primordiaux. Ainsi, du fait même de ce procédé, l’interprétation de chaque époque restait toujours dans la signification première essentielle du message transmis. » S.I
La lumière luit dans les ténèbres. Le soleil et la lune qui président au jour et à la nuit ont été créés. Les étoiles sont là pour séparer la lumière des ténèbres. Pour les témoins d’Apocalypse, on parle d’alignement du Soleil et de la lune vue de la terre. Les témoins cheminent de la terre à la lune puis au soleil. C’est un cheminement à rebours. Celui qui est au bout de 3,5 jours d’exposition de leurs cadavres les fait venir à Lui, le Soleil.
Nous comprenons tous qu’il existe un passage obligé, un état obligé, en l’occurrence un passage de l’inconscient à l’éveil conscient en esprit et vérité par ce que l’on peut appeler la matérialité ou macrocosme pour retourner dans le microcosme sous le seul état porteur de Vie, la seule et véritable. L’observation de notre véritable état par nous même doit se faire parce que Celui qui est nous a reconnu.
Est-ce une union ? Une ré- union ou toute autre chose ? Une création, plus certainement.
Souvenons- nous : Je suis puis Je suis, Je suis pour être Celui qui est, notre Seigneur et Maître. Nous comprenons de plus que nous ne sommes avant son action qu’une tendance à exister.
Celui qui est, origine consubstantielle de Son émanation par la Parole et de toutes celles issues de Lui, notre Seigneur et Maître, est l’Unique, le Seul qui de toute éternité donne la Vie selon sa Volonté à ses enfants, à ses témoins. Sa Gloire immense n’a d’égale que Sa Puissance, que sa Science et sa Présence qui illuminent et dominent sa Création.
Le 1er enseignement reçu est que l’essence est existence et non existence contrairement à ce que Guenon pensait :
Dans les États multiples de l'être, René Guénon développe les notions d'Infini qui est désigné, sous son aspect potentiel par le terme de Possibilité universelle, de manifestation universelle sous un aspect personnel : l'Etre et de non-manifestation (le Non- Etre). Le terme de Non- Etre ne doit pas être pris dans un sens privatif, comme l'indice d'un manque ou d'une absence, mais au contraire comme signifiant l'au-delà de l'Etre. La métaphysique pour Guénon se situe au de là de la physique soit au de là de l’ensemble des sciences de la nature. Elle a donc un caractère universel. Elle est connaissance de l’universel, des principes d’ordre universel.
Le Non- Etre représente donc l'ensemble des possibilités de non-manifestation, avec les possibilités de manifestation elles-mêmes en tant qu'elles sont à l'état non-manifesté ; et l'Etre lui-même s'y trouve inclus, car, ne pouvant appartenir à la manifestation, puisqu'il en est le principe, il est lui-même non-manifesté.
Pour être plus précis, l’essence porte en elle l’existence et la non- existence. Nous ne pouvons pas parler de dichotomie. Il n’existe aucune union ou ré- union à réaliser.
Deux mondes, deux dimensions nous sont décrits. Celle des hommes a été fabriquée. Ne pourrions- nous pas écrire que le vivant se réduit au fonctionnement de la matière physique , que la pensée se réduit à la combinaison et à la modélisation par le calcul d’unités d’informations simples ou bit donnant lieu aux fonctions mentales cognitive et émotionnelle, (celle qui donne de la couleur au comportement, un simulacre de vie), fonctions localisées dans des aires spécialisées du cerveau. En fait tout pourrait se réduire à des propriétés liées à l’atome, ce qui ferait que l’homme est une unité biologique autonome émotionnelle.
Est-ce que le tout est supérieur à la somme des parties ?
Non, rien n’émerge de lui puisque l’homme agit en fonction d’une intelligence individuelle et collective. Comme un algorithme il ne fait que résoudre ou non un problème, apporter à des événements des réponses ou des non réponses qu’il puise dans un champ de probables ou non probables compatibles ou non avec un environnement particulier de sa représentation à un moment donné dont il est l’observateur. C'est-à-dire ce que nous considérons comme notre temps présent. L’homme serait donc semblable à un objet mathématique sans existence propre. Il est instinctif et apprend en permanence à faire évoluer son logiciel d’adaptation intelligente, d’où l’autonomie. Alors l’homme de culture ?
Un autre monde existe, le monde de Celui qui Est.
Nous sommes dans le monde de l’être non être, des états juxtaposés, celui de la tendance à exister. Toutes les possibilités et non possibilités sont présentes. Seule une observation en fixe une, le temps d’une observation, tout s’effondre. Rien n’est fixé, rien n’est établi. L’éventualité se consolide dans sa décohérence, interaction incohérente, perte de liberté. C’est un décor, une illusion. Cette réduction n’est qu’un aperçu de sa réalité. Sa physique a changé. Mais pourquoi plus un état qu’un autre ?
Celui qui Est, notre Seigneur et Maître peut lui seul s’Il le désire donner l’Etre, l’Etat qu’Il souhaite. Il est l’Observateur conscient de ce qu’Il veut.
L’état représente des informations intelligibles sur lui. La décohérence fait que les différents états sont mutuellement distinctifs ce qui implique qu’un état physique ne prend qu’une seule et unique valeur. De ce fait les autres informations sont inconnaissables. L’unique découle de l’élimination mutuelle, conséquence de la décohérence. De l’ensemble des états possibles visibles tous en même temps, un seul apparait net et nettoyé. Pourtant, il ne représente que lui-même.
Cependant la structure de l’état observable unique, pur, ne doit-il pas l’être dans le monde de Celui qui Est, l’expression physique d’un être non être n’étant qu’une singularité éphémère, qu’un passage obligé, qu’un support à la réalisation du « plan Divin », qu’à l’acquisition d’une identité compatible, de la bonne et véritable image donnée par la « Parole de Dieu » qui s’avère être un ensemble d’informations ? Le vecteur s’élève. La Vie n’est pas dans l’éphémère.
Pour se faire, le concept de cohérence et décohérence quantique a été utilisé pour nous amener au plus près d’une réalité scientifique qui nous dépasse totalement.
Tous les objets décrits par la physique classique (projectile, planète, chat, etc.) étant composés, en dernière analyse, d'atomes et de particules, et ces derniers étant décrits entièrement par la physique quantique, il est logique de considérer que les règles de la physique classique peuvent se déduire de celles de la physique quantique.
La décohérence quantique est un phénomène physique susceptible d'expliquer la transition entre les règles physiques quantiques et les règles physiques classiques telles que nous les connaissons, à un niveau macroscopique.
Le problème majeur est que la physique quantique admet des états juxtaposés, ces états étant totalement inconnus à un niveau macroscopique, décrit par la physique classique.
L'exemple le plus frappant décrivant ce problème est l'expérience du chat de Schrödinger. Dans cette expérience de pensée, l'état juxtaposé d'un atome (désintégré/non désintégré) doit se propager, en suivant scrupuleusement les règles quantiques, à l'état d'un chat qui devrait aussi être, selon ces règles, dans un état juxtaposé mort/vivant. Or, un tel état n'est évidemment jamais observé, d'où paradoxe et problème.
La théorie quantique tient compte de cette non-observabilité des états juxtaposés quantiques en stipulant que tout acte d'observation provoque un effondrement de la fonction d'onde, autrement dit sélectionne instantanément un et un seul état parmi la totalité des états juxtaposés envisageables.
La théorie de la décohérence s'attaque par conséquent au problème de la disparition des états quantiques juxtaposés au niveau macroscopique.
L'idée de base de la décohérence est qu'un dispositif quantique ne doit pas être reconnu comme isolé, mais en interaction avec un environnement possédant la plupart des degrés de liberté. Ce sont ces interactions qui provoquent la disparition rapide des états juxtaposés.
En effet, selon cette théorie, chaque éventualité d'un état juxtaposé interagit avec son environnement ; mais la complexité des interactions est telle que les différentes possibilités deviennent rapidement incohérentes (d'où le nom de la théorie).
Ainsi, le mécanisme qui "choisit" l'état final du chat échappe à la théorie de la décohérence. Or, le postulat de réduction du paquet d'onde stipule que l'état final est bien projeté sur une et une seule valeur. Ce postulat n'est par conséquent pas entièrement couvert par la théorie de la décohérence.
Si nous essayons d’interpréter, nous pouvons considérer que nous nous trouvons dans
l’éventualité d’un état juxtaposé être- non être cohérents entre eux dans la dimension microscopique. Nous sommes une tendance à exister puisque nous ne pouvons pas être et non être à la fois dans la dimension macroscopique sans être décohérent par rapport aux deux possibilités. On nous indique également que le résultat final, l’information la plus importante que l’on veut nous communiquer, que ce résultat final, l’état final choisi nous échappe dans sa compréhension et qu’il n’est pas du ressort du hasard, qu’il est pensé et élaboré, qu’il est créé. Le macrocosme s’avère être un point de passage obligé pour que Celui qui est crée selon sa volonté. Il valide notre état, le fixe, casse la cohérence entre les états. Pour se faire, comme nous sommes endormis dans les formes de l’ego, nous devons croire sans avoir vu, avoir une fois inébranlable en Celui qui est et avoir chassé méchanceté et violence. Le macrocosme agit comme une interface dans un processus qui se réalise dans le microcosme. Pour que Celui qui est nous donne l’Etre, nous devons acquérir la connaissance par Sa reconnaissance. Atteindre les mystères de la Connaissance et de la Foi, fera qu’une conscience spirituelle nous sera donnée, c’est à dire l’Etat réalisé et fixé dans sa forme définitive.
Nous somme construit, créé, engendrés. Il n’y a pas d’union ou de ré- union. Il y a création car le choix final, ultime enseignement ne dépend d’aucune théorie mais d’une volonté, de Sa Volonté.
Document provenant d’une Source Inconnue.
« Ce travail va vous paraître étrange et quelque peu irréel. Cependant n’oublions pas notre foi et n’en déplaise aux rationalistes, une science privée de spiritualité ne sera jamais exacte. Elle ne sera que réductrice, loin de la vérité, une nouvelle tour de confusion.
Ce que nous observons n’est que l’apparence, l’expression, l’aspect ou les aspects d’autre chose, d’une essence qui est à la fois existence d’un être non être. Et je vous le dis très sérieusement, 0 n’est pas forcément égal à 0. Position, valeur de position, rapport, il englobe toutes les possibilités de positions, de ses valeurs, de ses rapports. Il les possède toutes. Il représente l’unique, construit le tout, unique à l’identique, se dédouble, devient présent, n’évolue dans aucun espace, aucun temps. Le 1 est à son service, le concrétise.
Einstein disait : « Dieu ne joue pas aux dés ». En fait toutes les possibilités du dé sortent. Nous n’en percevons qu’une, déterminée par notre position qui marque une valeur compatible avec toutes les autres qui découlent de cette position.
Les textes bibliques, la Kabbale hébraïque, le catéchisme de la Stricte Observance, le bouddhisme donnent les positions, les valeurs, les processus d’utilisation, le descriptif de cette carrière, l’organisation de ce que nous appelons le Temple. Les dolmens, menhirs et autres pyramides témoignent de sa forme, de sa puissance au sein de l’humanité toute entière et ce depuis le début.
Notre Ordre possède la dernière mission, l’ultime mission : dévoiler Sa Présence, secret transmis jusqu’à l’époque capable de le déchiffrer, et c’est la notre. Seulement le hasard, est ce vraiment le hasard qui l’a mis à jour. L’humanité l’utilise, s’enfonce dans son anéantissement. Les écritures se réécrivent, se réalisent toutes en même temps.
L’humanité redevient un repère de vipères, adore à nouveau le veau d’or, se prend pour Dieu. Le cou de plus en plus raide, elle met en péril l’harmonie nécessaire à toute élévation. Les adorateurs des idoles pullulent. Leur amour n’est que fornication et prostitution. Leur or transmutera en plomb fondu qui brûlera leurs entrailles. Ils exterminent leurs sœurs, leurs frères, rongent la planète, le véritable Jardin qui pouvait tout donner. L’entretenir et le connaitre suffisaient pour le bonheur terrestre, sans excès, dans l’équilibre.
La terre est plate, ronde. Tout le monde a raison. Ptolémée, Pythagore, Copernic, Galilée, Newton, Einstein, tout le monde a tord.
L’humanité est adultère. Elle a oublié Celui qui Est, le trompe avec elle-même, met en danger la construction du Temple.
Tant pis pour elle, à cause d’elle, les rapports changeront. Elle se condamne à mort. Une autre construction naitra. Elle est entrain de naitre.
Tous les moqueurs, tous les contempteurs seront punis.
Ses derniers amis seront sauvés. » S.I
En définitive :
« L’Eternel donne l’Etre puisqu‘ au commencement existait à la fois l’Etre – Non Etre. Pour ce faire Il nous donne l’intelligence, la Parole et l’image soit une identité. Il nous donne l’Etre en nous dégageant du non – être. » S.I
Gloire à Son Nom !