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Des nombres
14 septembre 2020

Signal

0502090045-51

L’octet est une unité informatique de mesure, mesurant la quantité de données. Un octet est lui - même composé de 8 « bits » soit 8 chiffres binaires.   

La qualité d’un signal de 1 « bit » est égal à 0,6 Bel. Pour 1 octet ou 8 bits il est de 0,6*8 = 4,8 Bels. Convertissons cette valeur pour qu’elle corresponde à la dimension de la Bible (Base 10 multiple de 5 et de 2) Nous trouvons 4,8*5 = 24 qui se trouve être le côté du carré de la Jérusalem céleste.

Le Bel comme unité est particulièrement pertinent dans les domaines où la perception humaine est mise en jeu. En effet, la sensation ressentie varie comme le logarithme de l’excitation. Il était appelé unité de « transmission » à l’origine.

La valeur linéaire pour Jérusalem est de : 0,6*5*8 = 24

La valeur surfacique de Jérusalem est de : 0,6*0,6*5*5*8*8 = 0,36*25*64 = 576

La valeur volumique de Jérusalem est de : 0,6*0,6*0,6*5*5*5*8*8*8=0,216*125*512=13824

Que mettons-nous en valeur ?

5*8 =40 coefficients pour lequel insiste particulièrement la Bible.

Valeur linéaire      : 5*8 = 40

Valeur surfacique : 5*5*8*8  = 25*64  = 1600 = 40*40 = 402

Valeur volumique : 5*5*5*8*8*8 = 125*512 = 64000 = 40*40*40 = 403

Autres valeurs mises en évidences :

0,6*5 = 3                                                              0,61* 401 = 24

0,6*0,6*5*5 = 0,36*25 =                                  0,62* 402 = 576

0,6*0,6*0,6*5*5*5 = 0,216*125 = 27                 0,63 *403 = 13824

En multipliant par 8 nous calculons pour 8 bits ou 1 octet valeur linéaire.

En multipliant par 8*8 nous calculons pour 8 bits ou 1 octet valeur surfacique.

En multipliant par 8*8*8 nous calculons pour 8 bits ou 1 octet valeur volumique.

La ville mesure 12 000 stades.

Si nous considérons 12 000 comme une expression binaire, écrivons la correspondance suivante en binaire : 1100 000 ou 1100 (binaire) = 12 en décimale.

1100 000 en binaire correspond à 96 décimal.

Le côté d’un carré représentant la ville vaut : 96/4 = 24 et chaque porte vaut : 24/3 = 8

La longueur, la largeur et la hauteur sont égales. Nous avons un cube de 24 de côté.

Le volume est de 24*24*24 = 13 824

Nous avons 3 portes par côté donc 9 volumes identiques (3*3) et chaque volume vaut 13824 / 9 = 1536,

Ce 1536 correspond à : 8*8*24. Nous pouvons considérer que verticalement nous retrouvons aussi les 3 portes et donc globalement dans le cube nous avons 3*3*3 = 27 volumes de 8*8*8 =512 et 27*512 =13824.

Jérusalem correspond à l’expression géométrique volumique  de la qualité du signal d’1 octet.

La valeur de 3 bits = 3*0,6 =1,8Bel.

Multiplions 1,8 par 40 pour la dimension biblique ( base10) soit 1,8*40 = 72

Décomposons le calcul : 1,8*5*8 = (3*0,6)*5*8 = 9*8 = 72

La valeur de 6 bits = 6*0,6 = 3,6Bel

Multiplions 3,6 par 40 pour la dimension biblique ( base10) soit 3,6*40 = 144

Décomposons le calcul : 3,6*5*8 = (6*0,6)*5*8 = 18*8 = 144

La valeur de 9 bits = 9*0,6 = 5,4Bel

Multiplions 5,4 par 40 pour la dimension biblique ( base10) soit 5,4*40 = 216

Décomposons le calcul : 5,4*5*8 = (9*0,6)*5*8 = 27*8 = 216

La valeur de 12 bits = 12*0,6 = 7,2Bel

Multiplions 7,2 par 40 pour la dimension biblique ( base10) soit 7,2*40 = 288

Décomposons le calcul : 7,2*5*8 = (12*0,6)*5*8 = 36*8 = 288

8 = 1000 binaire donc 36*8 = 36*1000 = 36000

Nous retrouvons :

Volume du Temple de Salomon   en mesure biblique : 60*30*20 = 36 000 = 36*8.

La question que l’on peut se poser est la suivante : quelle peut bien être l’unité puisque le Bel est le rapport entre deux puissances sans dimension propre ? 

Il s’agit d’une grandeur sans dimension puisqu’elle est une mesure logarithmique du rapport entre deux puissances.0,6B = 2log10(2) = 2*0,3 = 0,6 B

En physique, une grandeur sans dimension est une quantité permettant de décrire une caractéristique physique sans dimension ni unité explicite d'expression. Elle est constituée du produit ou rapport de grandeurs à dimensions, de telle façon que le rapport des unités équivaut à 1. L'analyse dimensionnelle permet de définir ces grandeurs sans dimension. L'unité SI dérivée associée est le nombre 1[1].

Ces grandeurs sans dimension interviennent entre autres pour la description de phénomène de transfert. Elles portent le nom de nombres sans dimension, nombres « adimensionnels » ou encore de nombres caractéristiques

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avec le rapport P1 / P0 = 2   Nous ne parlons que de qualité de signal.

Si le rapport entre les deux puissances est de : 102 = 100, cela correspond à 2 bels ou 20 dB

Au-dessous de 20 dB, le son est pratiquement inaudible pour l’oreille humaine. Il commence à devenir douloureux au-delà de 80 dB, dangereux à partir de 100 dB et insupportable dès 120 dB. Le seuil de douleur n’est pas un absolu, il dépend de la fréquence

Le rapport signal sur bruit désigne la qualité de la transmission d'une information par rapport aux parasites.

Ce concept est utilisé pour caractériser un équipement électronique, ce rapport s'obtient alors en comparant le signal d'entrée avec le signal de sortie pour mesurer le niveau du bruit (signal parasite) ajouté par l'équipement. En sciences expérimentales, il s'obtient en déterminant le rapport entre les signaux reçus en provenance de la source observée et les signaux reçus partout ailleurs. Plus généralement, le rapport signal sur bruit peut désigner la qualité d'une information reçue, comme une image, une conversation, …

Le rapport signal-bruit est un terme utilisé en ingénierie, en traitement du signal ou en théorie de l'information pour désigner le rapport entre la grandeur d'un signal (information utile, significative) et celle du bruit (information inutile, non significative) Comme de nombreux signaux ont une échelle dynamique élevée, les rapports signal-bruit sont souvent exprimés en décibels, dans une échelle logarithmique.

On définit ainsi la qualité d'un amplificateur, quel que soit son type et la catégorie de signaux qu'il traite. Plus le rapport est élevé, moins l'appareil dénature le signal d'origine.

Un bruit peut apparaître à différentes étapes d'un processus. Cela peut être :

- à la source de signal, à cause du système émetteur lui-même ;

- lors de sa propagation au travers de son canal : par exemple un signal radio indésirable, d'origine humaine ou non (éruptions solaires, orages) ;

- au niveau du récepteur : par exemple le fameux bourdonnement à 50 ou 60 Hz dû au courant du secteur ou les parasites dus à une alimentation à découpage insuffisamment filtrée.

Jésus dit que l’on doit faire la part des choses mais certainement pas expulser Celui qui Est de sa création. De toutes les façons cette illusoire expulsion n’est que vanité et poursuite du vent que l’intention d’une pensée suffira à annihiler.Est- ce possible ? Pourquoi pas, le cerveau est tellement flexible qu’une pensée suffit à en modifier la structure, en particulier celle des gènes des neurones.

« La neuro - plasticité cérébrale est la propriété que possède notre cerveau de s'adapter afin que nous puissions faire face à des situations complexes avec brio. Elle favorise une bonne plasticité cognitive qui procure la flexibilité mentale nécessaire à une bonne mémoire. »

Méfions-nous de nos pensées. Tous les contrôles, toutes les orientations deviennent possibles par des modifications biologiques structurelles que nous ne maîtrisons pas. Ne se trouve-t-elle pas là cette alchimie spirituelle ? Nous devons maîtriser cette modification pour nous mettre en conformité avec. Avec quoi, avec qui ? Qu’attendons – nous ? Une connexion ! De qui à qui ? Par quel processus ? Pour un transfert ? Comment se fera ce transfert ? L’incrédulité monte, peu importe, car ailleurs est, pour celui qui fait confiance, le temps n’est plus aux palabres inutiles.

« Rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » me fait penser au domaine de la sphère privée et au domaine de la sphère publique si chère à ceux qui prêchent le dogme de la laïcité qui va de paire avec le matérialisme.

La notion d'énergie est assez floue pour avoir donné, dans l'imagerie populaire, la conception d'une sorte de fluide qui passerait d'un objet à l'autre au cours des transformations, réminiscence du concept de phlogistique (un « fluide immatériel » censé véhiculer la chaleur)

Le terme « énergie » revient fréquemment dans des discours pseudo-ésotériques (avec les ondes) ou encore dans les « pratiques énergétiques » (comme le Reiki dans lesquelles l'énergie serait une substance d'origine divine). On entend ainsi parler d'énergie « pure » (alors que l'énergie ne fait que décrire l'état de quelque chose d'autre) ou d'une « énergie encore inconnue » …

La différence entre les « énergies » du discours pseudo-ésotérique se situe au niveau de la définition : en physique, l'énergie est une grandeur précisément définie, quantifiable et mesurable. Ceci implique que l'on puisse être capable de mesurer précisément l'énergie (cinétique, potentielle…) ou ses variations, au moins du point de vue théorique. Ceci n'est pas le cas des pseudo-énergies telle que « l'énergie psycho kinétique » ou « cosmique » qui apparaissent comme provenant d’un processus de génération spontanée.

Le mouvement et l’énergie sont liés. On ne peut pas les détacher de la forme de leurs supports. Ce monde est rationnel par ce que Celui qui l’a construit est puissant, logique et rationnel.

La vie est ailleurs.

 

Gloire soit rendue à son Nom

 

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  • Ce blog propose une interprétation des nombres figurant dans l'Ancien et le Nouveau Testament. Les nombres développent une métaphore qui donne une représentation mentale d'un processus qui dépasse l'entendement.
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